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mardi 30 avril 2013

Iran : 40 exécutions, dont deux femmes, en 18 jours



Les bourreaux au pouvoir en Iran continuent de dresser des potences dans les prisons à travers le pays.
Le 28 avril, deux détenus ont été pendus à la prison de Khorein à Varamine (sud de Téhéran), qui est un camp de la mort comme celui de Kahrizak, et un autre de 28 ans nommé Hamid Khoshnam à la prison de Zahedan (sud-est de l’Iran).
Quatre prisonniers ont été exécutés le 27 avril à la prison de Kerman (sud), deux jeunes de 22 et 26 ans le 24 avril dans la prison centrale de Machad (nord-est), quatre autres, dont deux femmes le 22 avril à la prison de Dizelabad à Kermanchah (ouest), et deux jeunes Afghans le 21 avril à la prison centrale de Machad (nord-est).  
De même, le 20 avril, des prisonniers ont été pendus en groupe dans une exécution clandestine à la prison de Birjand. Ali Arang, 31 ans, est un de ces exécutés. Il n’existe aucune information sur l’identité et les dossiers des autres prisonniers pendus. Le 17 avril, un prisonnier a été pendu à la prison de Gohardacht en banlieue téhéranaise.
Ainsi avec les exécutions déjà annoncées, du 10 au 28 avril, 40 prisonniers, dont deux femmes, ont été pendus et les informations sur un plus grand nombre d’exécutions ne sortiront jamais des prisons.
Les condamnations à mort continuent de tomber. Le 28 avril, trois détenus ont été condamnés à mort dans la ville de Khomein.
Dans un acte inhumain visant à humilier, trois détenus accusés de vol et de trafic de drogue ont été exhibés dans les rues principales de la ville de Mehran (province de Kermanchah).
La montée de la répression et la multiplication des pendaisons pour intensifier le climat de peur, traduit la crainte qu’inspirent aux mollahs les manifestations qui s’annoncent à l’approche de la mascarade électorale de juin, pendant que les luttes intestines atteignent des pics sans précédent au sommet du pouvoir.  
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 28 avril 2013

lundi 29 avril 2013

Appel au secrétaire général de l’ONU, au Haut commissaire pour les réfugiés et au Secrétaire d’Etat américain à ramener de toute urgence les habitants à Achraf

  Nouvelle attaque contre Liberty
   A 17h50 heure locale, le camp Liberty a subi une nouvelle
   attaque.Au moins20 explosions de tirs de roquette en plein
   jour ont fait trembler les baraquements vétustes. Il n’y a pas
   encore de rapports sur les pertes  humaines.
   Un nombre significatif de roquettes sont tombées dans le
canal d’eau au sud du camp.
Depuis l’attaque précédente du 9 février jusqu’à présent, le gouvernement irakien et Martin Kobler n’ont répondu positivement à aucune des demandes urgentes de sécurité pour la protection des habitants comme le retour des 17.500 murs de béton en T, le transfert depuis Achraf des gilets pare-balles et des casques de protection, le transfert des équipements médicaux de première nécessité, l’agrandissement de la surface d’un demi-kilomètre², le droit de construire.
Les habitants sans défense sont face à un comportement criminel intentionnel de la part de Maliki et Kobler qui les laissent sans protection. Ils demandent leur retour immédiat à Achraf, qui en raison de sa plus grande superficie et de ses installations offre une plus grande sécurité.
Mme Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne, appelle le Secrétaire général de l’ONU, le Haut commissaire aux réfugiés et le secrétaire d’Etat américain à ramener immédiatement les habitants de Liberty à Achraf.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 29 avril 2013

Malgré la chaleur caniculaire, le gouvernement irakien empêche l’entrée de ventilateurs à Liberty !

  Camp Liberty – Attaque à la roquette – N° 38
Cela fait plus d’une semaine que les forces irakiennes empêchent l’entrée de ventilateurs que les habitants ont achetés et les maintiennent au poste de contrôle aux portes de Liberty. Cette mesure intervient alors que la température atteint des degrés insupportables.
Le 16 avril, George Bakoos, conseiller politique du premier ministre Maliki, avait autorisé devant l’adjoint de Kobler, l’entrée de 500 ventilateurs dans le camp. Mais la semaine dernière les requêtes des habitants auprès des autorités irakiennes et onusiennes pour prendre livraison de ces articles n’ont pas abouti. Sur ordre du comité chargé de la répression des habitants de Liberty au bureau du premier ministre, Heydar Azab s’est opposé à l’entrée des ventilateurs. Heydar Azab a directement participé à deux massacres des Achrafiens en 2009 et 2011. Il est à ce titre cité à comparaitre par la justice espagnole pour crime contre la communauté internationale, crime de guerre et crime contre l’humanité.
La vétusté des climatiseurs à gaz avec leur forte consommation d’électricité et le délabrement des groupes électrogènes de Liberty entrainent des frais astronomiques en combustible. C’est pourquoi les habitants ont acheté des ventilateurs pour supporter la fournaise de l’été irakien et réduire la consommation de combustible.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 28 avril 2013

                                                                                    

dimanche 28 avril 2013

Another Bahai mother went to prison with her baby

Elham Ruzbehi

Elham Ruzbehi HRANA News Agency – Elham Ruzbehi, the Bahai citizen living in Isfahan, who was sentence to 2 years of prison by a court in Semnan went to Semnan prison with her baby. According to a report by Human Rights Activists News Agency (HRANA), Elham Ruzbehi was sentenced to 2 years of prison by the appeal court of Semnan, went to Semnan prison on April 27th with her 1 year old baby. She is the fourth Bahai mother who is serving her prison sentence with her baby. Elham Ruzbehi had been arrested in March 2010 in Semnan and after one month released on the bail. She was sentenced to 3 years of prison which was reduced to 2 years afterwards. She has been living in Isfahan for more than 1 year now, but she has to go to Semnan prison.

2 Bahais are released

Golrokh Firuzian

HRANA News Agency – Mohammad Hossein Nakhai, 86 years old and Golrokh Firuzian are released from Birjand and Semnan prisons.
According to a report by Human Rights Activists News Agency (HRANA), Mohammad Hossein Nakhai, the 86 years old Bahai living in the Khusof village of Birjand, who was the oldest political prisoner in Iran has been released by the end of his 1 year prison sentence on April 22nd.
He was sentenced to 1 year of prison and 5 years of suspended prison by the appeal court of Birjand.
Golrokh Firuzian, the Bahai citizen living in Semnan, was arrested last March and has been released after 46 days being under arrest on April 25th on the bail of 100 million Thomans.

Hassan Tarlani returned to prison

Hassan Tarlani


HRANA News Agency – Hassan Tarlani, the imprisoned student who had come for medical vacation about 0ne month ago returned to Kerman prison.
According to a report by Human Rights Activists News Agency (HRANA), Hassan Tarlani came to medical vacation on March 10, 2013 because of Varicocele disease but had to return to the prison by the beginning of last week.
This 24 years old student has been sentenced to 10 years of prison in exile by the revolutionary court of Kerman.
He was arrested on February 21, 2008 by the intelligence agents and was kept in section 209 of Evin prison for 88 days under torture. He was sentenced to 10 years of prison in exile by the branch 22 of the revolutionary court of Tehran charged with supporting MEK.

The last news about Ghaleb Hosseini and Ali Azadi

Ali Azadi

HRANA News Agency – Ghaleb Hosseini and Ali Azadi, the two arrested labors’ rights activist are in an undecided situation.
According to a report by the committee of coordination to help founding workers’ associations, the on-going arrest of these two members of this committee and the lack of clear answer from the authorities have caused serious worries in the families and friends of these labors’ rights activist about their health condition.
They are finished with the interrogation process but the authorities of the intelligence don’t send the case to the court and refuse to give a legal answer to their families.
The intelligence authorities behave the families in the most insulting way and the judge is threatening the families not to follow the case otherwise they will be arrested, too.

Shadyar Omrani is summoned

Shadyar Omrani

HRANA News Agency – After the arrest of two Assyrians about the priests of the “Emmanuel” church in Tehran last February, the Assyrian member of the parliament, Yunatan Bet Kelya, has called Shadyar Omrani, the journalist and author, for some explanations.
According to a report by Human Rights Activists News Agency (HRANA), Shadyar Omrani, the author, journalist and translator, who used to talk with foreign medias with the name of “Shuresh Raha” had been arrested once before charged with cooperating with the arrested Assyrians and has been called through a telephone call on February 11, 2013 and February 24, 2013.
Mrs. Omrani has cooperated with the Iranian Christians through making reports, writing articles and publishing news.

It is good to say that Yunatan Bet Kelya has always cooperated with the government in suppressing Iranian Assyrians.

samedi 27 avril 2013

Mohsen Dogmechi’s wife is called to the prison

Maryam Alangi

HRANA News Agency – The prosecutor of Tehran has called Mohsen Dogmechi ( the political prisoner who died of cancer if Rajai Shahr prison)’s wife to the prison, since the 3 years of prison sentence about her has been confirmed.
According to a report by Human Rights Activists News Agency (HRANA), Maryam Alangi had been sentenced to 3 years of prison in the section 15 of the revolutionary court of Tehran and the section 36 court of appeal in Tehran confirmed the sentence afterwards.
According to this sentence she must serve these 3 years in exile in Rajai Shahr prison but since the women section of this prison is closed it is not clear which prison she must go to.
Mohsen Dogmechi was one of the well-known merchants of Tehran who was arrested on September 9, 2009 because of giving donations to the families of political prisoners and was sentence to 10 years of prison. He got pancreatic cancer in prison and dies on March 28, 2011 because of not being transferred to the hospital.
Maryam Alangi had been arrested almost one month after the arrest of her husband and was kept in solitary of the section 209 of Evin prison under huge pressures. She was finally released on the bail.
When Mohsen Dogmechi died she was called to the section 15 of the revolutionary court of Tehran because of holding the funeral and having some interviews. The court charged her exactly with the charges of her husband and issued the sentence on the basis of them.
She must go to Evin prison on 30th April.

More pressure on Kaveh Taheri the imprisoned blogger






Kaveh Taheri   
HRANA News Agency – Kaveh Taheri the imprisoned blogger in Adel Abad prison of Shiraz and the other political prisoners face too much limits and pressure.

According to a report by Human Rights Activists News Agency (HRANA), recently and by getting closer to the presidential elections, limitation and pressure on the political prisoners in Adel Abad prison of Shiraz has intensely increased.

Prison authorities confiscated the personal books of Kaveh Taheri and the other political prisoners. The authorities even took away the books of prison library and do not let the political prisoners to have access to any sort of books.

Also according to the received reports from Adel Abad prison of Shiraz, the food of prison which had bad quality always even got worse nowadays.

The reports from prison mentioned hygiene condition and described it as horrible that for 180 prisoners there are only 2 showers.

One of the relatives of Kaveh Taheri wrote in a report to HRANA that “On April 23, 2013 the prison authorities without consideration about court appointment schedule transferred Kaveh, a Baha’i cellmate and a few more prisoners by a car to different courts -Revolutionary court, Atlasi, Municipality square and …-. Kaveh was moving into revolutionary court fettered whereas his lawyer was not present and because the court did not schedule appointment for him then after a few hours waiting they were transferred to prison with the same car. Among prisoners in the car there was one who was arrested on charge of murder and when the car was moving back to prison a group of armed men who might be his relatives or people related to him were ambushing close-by Municipality square court to free this prisoner. They did not succeed and the car ran away anyway and transferred back the prisoners back to prison. But if clashes were happened then life of Kaveh and the others were in serious risk and no one knows what catastrophe was going to happen. The least expectation we have is to categorize the prisoners and separate the political prisoners that the others and prevent these kind of problems.”
                                                                            

Vahid Sheykh Baglu is arrested

Vahid Sheykh Baglu
HRANA News Agency – Vahid Sheykh Baglu, the civil activist and one of the fired student s from studying has been arrested and transferred to Tabriz prison to serve his one year imprisonment sentence.
According to a report by Human Rights Activists News Agency (HRANA), this member of Arman students association of Tabriz Azad University has been arrested last Friday and afterwards called his wife from quarantine section of Tabriz prison.
The intelligence agents have transferred him to Tabriz prison after arresting. He was arrested with 28 other civil activists in Tabriz because of gathering and discussing about the solutions to save Urmiye Lake and was sentenced by the revolutionary court of Tabriz to 2 years of prison of which 1 year is suspended.

No vacation for Mehdi Tajik

Mehdi Tajik
HRANA News Agency – The persecutor of Tehran doesn’t allow Mehdi Tajik, the students’ activist and graduated student from the law and political since faculty of Tehran university, to come for vacation.
Mehdi Tajik has been sentenced to 27 months of prison and went to the section 350 of the Evin prison last February.
According to a report by Daneshju News, Mehdi Tajik was sentenced to 27 months of prison and 30 years prohibition from any political activity in April 2012 by Judge Pir Abbasi.
This former student activist had been arrested twice in 2005 and 2006. He was sentenced to 2 years and a half of prison because of insulting the Supreme Leader which was reduced to cash surcharge afterwards.
Mehdi Tajik was arrested once again in January 2010 and transferred to the section 350 of Evin prison.
He was sentenced to 2 years of prison on charge of colluding and gathering against national security, 91 days of prison because of propaganda against the government and 1 Million Rials surcharge on charge of insulting the president in April 2010.
The section 26 of the revolutionary court of Tehran also sentence him to 30 years of prohibition from any interview, journalism, writing articles, membership and political activity in any political parties.

Mohammad Ali Taheri is on hunger strike

Mohammad Ali Taheri
HRANA News Agency – Mohammad Ali Taheri, the establisher of the mysticism circle in on hunger strike against the pressures that the interrogators are putting on him.
According to a report by Human Rights Activists News Agency (HRANA), there is no news of the health condition of this belief prisoner in section 2-A of Evin prison and he has been prevented from meeting his family in recent days.
He had gone on hunger strike once before protesting against the denial of his rights by the Pasdaran interrogators.
He got a vacation after 2 years last March but was forced to return to the prison after just 6 days on 26th March. This was a medical vacation and now there is a serious worry about his health condition.
Mohammad Ali Taheri is now more than 22 months in the section 2-A of the Evin prison which belongs to the Pasdaran forces.

jeudi 25 avril 2013

Peyman Aref is released

Peyman Aref
HRANA News Agency – Peyman Aref the former students’ activist has been released.
According to a report by Human Rights Activists News Agency (HRANA), Samira Jamshidi, his wife, wrote in her facebook that Peyman has been released today.
Peyman Aref got arrested on 22nd April by the intelligence forces meanwhile the agents searched the whole house and brought some of his personal properties including his laptop.
One of his relatives told to HRANA: “The agents had cut the internet connection of the house before arresting Peyman and now they are using his facebook ans skype accounts.”

New dressing limits in Tehran

Tehran Police
HRANA News Agency – The chief commander of Tehran traffic police said we will stop the cars the drivers of which dress non-Islamic, disturb the others and make loud sounds.
According to a report by ISNA, Hossein Rahimi pointed out the recent order of the prosecutor of Tehran about suppressing the obvious signs of degeneracy and said: “On the basis of social security and suppressing the obvious signs of degeneracy plan, the cars of guilty ones will be stopped for 3 added weeks.”
He said: “The cars of those who dress in a non-Islamic way or those who disturb others or have loud sound will be included in this law.”

Jafar Ganji returned to prison

Amir Khorram
HRANA News Agency – Jafar Ganji a member of “Freedom movement of Iran” youth organization returned to prison by the end of his vacation.
According to a report by Mizan news website, Jafar Ganji returned to prison on 23rd April.
Jafar Ganji is a member of “Freedom movement of Iran” youth organization.
He has been sentenced to 5 years of prison by the section 15 of the revolutionary court of Tehran charged with colluding and gathering against national security, establishing a history research group, participating in illegal demonstrations and propaganda against the government.
Amir Khorram, Emad Bahavar and Masoud Sadeghi are other members of “Freedom movement of Iran” who are in prison.

One Bahai is released / another is arrested

Ardeshir Fanaiyan
HRANA News Agency – Faramarz Firuzian has been arrested to serve the one year of prison sentence and Ardeshir Faniyan has been released on the bail after 68 days being under arrest.
According to a report by Human Rights Activists News Agency (HRANA), Ardeshir Fanaiyan the Bahai citizen who lives in Semnan was arrested last February and has been released after 68 days arrest in the intelligence of Semnan on the bail of 50 million Thomans on 20th April.
Faramarz Firuzian is also another Bahai citizen living in Semnan who was sentenced to 1 year of prison on charge of propaganda against the government has been arrested on 15th April to serve the sentence.

L'Irak doit protéger les résidents du camp Liberty, selon un député irakien

CNRI - L'Irak doit protéger les opposants iraniens du camp Liberty, après l'attaque meurtrière du 9 février qui a fait huit morts et plus de 100 blessés, a martelé un député irakien.
Borhan Mohammad, un membre de la Coalition kurde, a déclaré à l'agence de presse al-Hadath le 22 avril : « Les membres de l'Organisation des moudjahidin du peuple d’Iran (OMPI) sont considérés comme des réfugiés par le droit international et sur la base de la quatrième Convention de Genève, par conséquent, nous devons les respecter.
« Le gouvernement irakien doit respecter toutes les conventions internationales dans sa manière de traiter l'OMPI et les protéger contre les attaques futures. Il doit subvenir à leurs besoins humanitaires et respecter les droits de l'homme comme le stipulent tous les pactes internationaux ».
                                                                                   

Iran : davantage de pressions sur les prisonnières sympathisantes de l’Ompi et les familles d’habitants de Liberty

Le régime inhumain des mollahs accentue les pressions sur les prisonnières politiques sympathisantes de l’Ompi et les parents des habitants d’Achraf et de Liberty.  Les détenues sont privées de tout soin médical, et beaucoup sont dans un état grave.
- Mme Zahra Mansouri, 60 ans, parente d’habitants de Liberty, qui était sous chimiothérapie hors de la prison pour traiter un cancer, a été ramenée à la prison d’Evine malgré l’aggravation de son état. Souffrant également d’épilepsie, elle a été à plusieurs reprises privée de médicament lors de crises.
- Mme Motahareh Bahrami (Simine Danechpour) qui a contracté plusieurs maladies en prison, notamment un disque lombaire, n’a pas été hospitalisée malgré la recommandation du médecin de la prison de l’envoyer aux urgences, en raison de l’opposition du procureur criminel Jafar-Abadi et a été privée de soins. Motahareh Bahrami, 62 ans, a été arrêtée avec son époux Mohsen Danechpour, 70 ans, et leur fils Ahmad, 40 ans, en décembre 2009 pour avoir rendu visite à de la famille à Achraf et accusée de « Moharebeh » ou guerre contre Dieu. Motahareh Bahrami a été condamnée à 10 ans de prison et son fils Ahmad Danechpour à la peine de mort.
Mme Sedigheh Moradi qui souffre d’un disque cervical à la suite des tortures et des conditions carcérales effroyables, est privée de soins et vit un calvaire.  Elle a déjà connu la prison politique dans les années 1980 pour son soutien à l’Ompi. Elle a été à nouveau arrêtée en avril 2011 à Téhéran et condamnée à 10 ans de prison.
La Résistance iranienne appelle l’ensemble des organes internationaux et de défense des droits humains, en particulier ceux qui défendent les droits des femmes, à s’occuper de toute urgence de la situation des détenus politiques en Iran, en particulier de mesdames Zahra Mansouri, Motahareh Bahrami et Sedigheh Moradi.

5 hidden executions in Zahedan

                            Abbas Karimi

HRANA News Agency – There have been 5 prisoners hanged in Zahedan prison in the beginning of this week which the official media of the Iranian government has not talked about yet.
According to a report by Human Rights Activists News Agency (HRANA), in the morning of Saturday 20th of April 5 prisoners including 2 Afghani prisoners have been hanged in Zahedan central prison.
Jafar Sardashti, Abdolghani Gorgi, Abbas Karimi, Keshmir Alizehi (Afghani), Eghbal Shahbakhsh (Afghani) are these 5 prisoners.
They were between the ages 21 and 48 and charged with drug trafficking.
Since the Afghani government has complained about Afghani citizens’ execution in Iran, the Iranian government doesn’t publish the news of these executions anymore.

Camp Liberty resident passed away due to lack of access to medical services

Reza Nasiri

• 14 residents of Ashraf and Liberty camps have died due to medical blockade

Mr. Reza Nasiri, 46, a resident of Camp Liberty, passed away in a hospital in Baghdad on Wednesday afternoon, April 24, due to lack of access to medical services, delay in his transfer to hospital and obstructions created in his treatment. 
He has been fighting against the religious fascism ruling Iran for the past 24 years within the ranks of thePMOI. He had a kidney transplant in 1997 and had been under medical care. He faced serious problems when siege on Ashraf started in 2009, however, doctors at the medical center in Ashraf, using the equipment available, provided him with the basic care. After his transfer to Liberty and lack of equipment he was deprived of the care that led to complications in his kidney. 
When he was transferred to hospital last December, Iraqi secret police under the command of the office of the Iraqi Prime Minister caused obstructions in his treatments. In a letter to Gyorgy Busztin, Martin Kobler’s deputy, on December 12, he wrote: 'I, Reza Nassiri Taymour. I suffer from acute kidney problem but in the months I have been in this camp I am facing a shortage of my medicine. Finally yesterday, I went to Baghdad. I should say first that from the outset we faced a wave of ill treatment, insult, humiliation, and barbaric behaviorThe agent accompanying us from the intelligence ... He obstructed my tests at the hospital under the pretext that it is 12:30 and administrative working hours is over. In particular he told a nurse that “don’t attend to them”... he refused to let us go to the office of the head of the hospital to resolve any problems with him.'
He wrote on December 13, 2012 to the UNAMI Human Rights Officer and the UNHCR representative:
'as a patient in camp Liberty my sole desire is to enjoy adequate medical services within the framework of international human rights laws, and we should have free access to medical services not treated as prisoners and I believe that you as humanitarian organization can change this situation that Iraqis have created.'
After much delay, specialists examined him and to get exact diagnosis, they asked for immediate Biopsy from his Kidney. But continued obstructions by the Prime Minister’s committee meant that this did not take place for a month and a half. If there was no medical blockade, this would have been possible to do in a few days.
On Monday, April 22, Reza’s condition deteriorated and became critical. His friends took him to the clinic at Liberty. The clinic transferred Reza to the hospital the next day while he was in a coma. He died in the hospital today. Reza Nasiri, is the 14th Liberty resident who dies as a result of medical blockade at Ashraf and Liberty. Before him, at Liberty, two other residents, Mansour Koufe’i on March 12 and Hossein Barzmehri on April 13, died due to lack of basic medical necessities. 
In the NCRI statement on March 14 reads:'On the one hand, Liberty residents are denied minimum medical facilities which they had in their own clinic at Ashraf and the GOI prevents their transfer to Liberty, and on the other, the Iraqi clinic in Liberty lacks minimum necessities and preliminary equipment needed to take care of emergency cases, and the residents have no free access to medical services.'
The Iranian Resistance stresses that the cruel siege imposed on Camp Liberty residents is a blatant crime against humanity and those responsible for it and those who facilitate it are liable to prosecution and should be punished. The Iranian Resistance calls on the US government and the United Nation to take immediate measures in order to end the inhumane medical siege imposed on Camp Liberty and to lift restrictions on the transfer of medical equipments from Ashraf to Liberty and allow the residents to have free access to medical services in Iraq at their own expenses.

Secretariat of the National Council of Resistance of Iran
April 24, 2013

mercredi 24 avril 2013

L'assassin terroriste du Pr Kazem Radjavi représente le régime iranien au conseil des droits de l'homme de l'ONU

 
CNRI - Un assassin du régime iranien qui avait dirigé il y a 23 ans le meurtre de l'activiste des droits de l'homme et de la résistance, le Professeur Kazem Radjavi, représente la dictature des mollahs au conseil des droits de l'homme de l'ONU en Suisse ce mois-ci.
Mohammad Mehdi Akhondzadeh-Basti est à la tête de la délégation du régime iranien pour cette réunion, qui se déroule à Genève du 25 février au 22 mars.
En avril 1990, Akhondzadeh-Basti – désormais le vice-ministre des Affaires Étrangères pour les affaires juridiques et internationales – faisait partie de l’escadron de la mort qui avait abattu le Pr. Radjavi en plein jour alors qu'il rentrait en voiture chez lui dans le village suisse de Coppet près de Genève.
Le Pr. Radjavi a été le premier ambassadeur d'Iran aux Nations Unies à Genève après la révolution iranienne de 1979. Mais peu après sa nomination, il avait démissionné pour protester contre la « politique répressive et les activités terroristes » des religieux au pouvoir en Iran.
Il était resté à Genève pour mener campagne contre les exécutions en masse, les arrestations arbitraires et la torture qui se passaient dans en Iran, devenant le représentant du Conseil national de la Résistance iranienne à l’ONU, tout en menant une carrière d’enseignant à l’université de Genève.
Mais ses activités avaient incité Khomeiny à ordonner sa mort et pour ce faire en 1986, douze tueurs avaient été envoyés dans des centres d’entraînement terroristes à Lavizan et Abyek.
Ce n'est que trois ans plus tard que des plans s'étaient échafaudés pour assassiner le Pr. Radjavi – qui a été qualifié de « martyr des droits de l'homme ».
Lors d'une réunion à laquelle avaient assisté des chefs du renseignement iranien, des commandants de la force Qods ainsi qu'Akhondzadeh-Basti, trois manières possibles de mener cet assassinat avaient été discutées.
La première consistait à tuer Radjavi avec tous les membres de sa famille chez lui.
La seconde était de placer une bombe dans sa voiture, de la connecter aux freins ou à l'allumage, de sorte qu'elle aurait explosée une fois que la vitesse aurait atteint les 40 km/h.
Et la troisième était de l'assassiner sur son trajet depuis ou vers son domicile.
Un budget pour l'opération avait ensuite été approuvé lors d'une réunion avec Ali Khamenei, le nouveau président du régime iranien Rafsandjani, le mollah Mohammad Hejazi chef de la commission des affaires spéciales, Falahian le ministre du Renseignement, Velayati le ministre des Affaires étrangères, Reychahri l'ancien ministre du Renseignement et Mohsen Reza’i alors commandant en chef des pasdaran.
Le 30 août 1989, une première équipe dirigée par Akhondzadeh-Basti et un collègue Saïd Hemati s'étaient rendus à Genève avec des passeports diplomatiques pour examiner les possibilités. En se fondant sur leur évaluation, le plan de la voiture piégée avait été écarté et ils avaient commencé à travailler uniquement sur les premier et troisième plans.
Le 18 octobre 1989, un commando de tueurs était à nouveau entrée dans Genève et avait tenté de mettre à exécution le premier plan de massacrer la famille Radjavi, mais parce que Kazem était parti pour un voyage, le complot avait avorté.
Le 31 janvier 1990, la seconde équipe était arrivée à Genève, mais en raison de querelles internes entre les terroristes, ce plan avait également été annulé.
Puis, le 10 avril 1990, six terroristes avaient atterri à Genève sur un vol Iran Air. Mohammad-Ali Hadi Najafabadi, l'ambassadeur d'Iran aux Émirats-Arabes-Unis arrivait également à Genève huit jours après muni d’un passeport diplomatique n° 006646 et était descendu à la chambre 625 de l'Hôtel Intercontinental.
Akhondzadeh-Basti avait pris lui aussi un vol pour Genève sur Iran Air le 18 avril, muni du billet de vol n° 096 4261 831174 et du passeport diplomatique n° 006588, et avait séjourné dans le même hôtel.
Les deux hommes avaient supervisé l’assassinat du Professeur Radjavi, âgé de 56 ans, abattu dans sa voiture tandis qu'il rentrait chez lui à 11h50 le 24 avril 1990. Akhondzadeh-Basti, Abadi et d'autres terroristes connus sont retournés à Téhéran à bord d'un Boeing 737 d'Iran Air le soir-même.
Le Professeur était le frère ainé du dirigeant de l'opposition iranienne Massoud Radjavi. Ce défenseur inlassable des droits humain en Iran, détenait six doctorats dans les domaines du droit, des sciences politiques et de la sociologie des universités de Paris et de Genève.
Après une interminable enquête, la justice et des officiers de police suisses ainsi que le magistrat Roland Chatelain ont découvert que 13 agents iraniens avaient utilisé des « passeports de service » pour entrer en Suisse en vue de tuer le Pr. Radjavi et ont confirmé le rôle du régime iranien sous dans ce meurtre.

Flogging one political prisoner despite his back disease

HRANA News Agency – Although Hassan Ark (Ali Hajabulu) suffers from back disease the authorities of Tabriz prison are insisting on flogging him which is a part of his former sentence.
According to a report by Human Rights Activists News Agency (HRANA), the authorities of Tabriz central prison have called Hassan Ark, the civil activist to flog this Azerbaijani activist.
This is done while he suffers from back disease and needs to takes rest according to specialist doctors.
The authorities have brought him to Forensics to confirm his disease, so if the Forensics doesn’t confirm his diseases he will be flogged.
Hassan Ark, the journalist and civil activist was sentenced to 50 lashes by the section 106 of Tabriz court on charge of insulting the leader and the Police.
He is now serving his 1 year imprisonment sentence which was because being arrested with 28 other civil activists in a gathering in Tabriz to find a solution for the revival of the Urmiye Lake.
He was sentenced on charge of assembly and collusion against national security to 2 years of prison of which 1 years is suspended for 5 years.

5 are dead because of Chinese Penicillin injection

HRANA News Agency – A research on the medical cases showed that 5 people have died because of using Chinese Penicillin.
Dr. Iraj Khosronia, the chief of the Internal specialists society of Iran has told to YJC: a 40 years old man goes to a doctor because of Pus in throat for whom the doctor gives penicillin to use. He uses the Penicillin and gets ague and loses his blood pressure and cannot breath and after 15 minutes dies.
He said: the research on this case showed that he has died because of using Chinese Penicillin.
This patient had no special problem and the main problem was the Chinese Penicillin which was imported illegally and there is no way to recognize if they are fake or not.
He said: This was the fifth person who died because of the same reason.
The chief of the Internal specialists society of Iran pointed the high amount of death because of use of Chinese Medicines and said: unfortunately the lack of clear statistics in our country makes serious problems in all fields.

Arab jurists ask UN to protect Iranian dissident refugees in Iraq

Camp Liberty residents
NCRI, 23 April 2013 - Arab Jurists asked the United Nations to protect members of the opposition organization the People’s Mojahedin of Iran (PMOI/MEK) who live at Camp Liberty near Baghdad, Arabic language daily Al Sharq Al Awsat reported.
Below is excerpts of report published on April 20, 2013:
Mohammad al-Moussavi, an Iraqi activist, said that Tehran has pressured these Iranian dissidents and has endangered their lives. These opponents of the religious regime of Tehran sought refuge in Iraq during the reign of Saddam Hussein, but according to Moussavi who is the deputy director of the Regional Network for Democratic Growth and Human Rights, when a regime close to Iran gained power in Baghdad, it made the Iranian dissidents presence in Iraq “very difficult”.
Arab parties, associations, and human rights institutions called on the UN High Commission for Refugees to return about 3,000 members of PMOI/MEK to Camp Ashraf in Diyala Province near Iraq-Iran border, about one year after their transfer to Camp Liberty which is located north of Baghdad and lacks the most basic necessities of life.
About 90,000 citizens of Arab countries have signed this petition.
Moussavi who has also signed the petition said: “We call on UN Secretary General Ban Ki-moon to intervene and protect Camp Liberty residents and take action for their return to Camp Ashraf.” He also told Al Sharq Al Awsat daily that: “In order to push the Liberty residents into a corner and endanger their lives, Iran pressures Iraq.”
The signatories of the statement and petition say: “Considering lack of safety and security at Camp Liberty, it is necessary to immediately return the residents to Camp Ashraf.”
According to this statement, distributed by the Lawyers Union for Democratic and Legal Studies and a copy of which was obtained by Al Sharq Al Awsat, 18-parties, associations, and civil and social institutions defending human rights and 88,883 citizens of 13 Arab countries including Egypt, Syria, Libya, Jordan, Morocco, Palestine, Kuwait, Qatar, Tunisia, United Arab Emirates, Lebanon, Algeria, and Yemen signed the statement.
About two months ago, Camp Liberty was the target of missile attacks by para-military forces in Iraq—that the signatories of the statement say were affiliated with the Iranian regime—which left 8 dead and 100 wounded.
Moussavi told Al Sharq Al Awsat that: “Necessary items such as hard hats and protective vests are not allowed to be brought to the camp in order to inflict higher casualties, that is to say that the officials are deliberately banning all the safety and security measures to directly participate in the massacre of PMOI/MEK by the Iranian elements in Iraq who are affiliated with Tehran regime.”
Moussavi added: “Camp Liberty lacks security fortifications and its residents have been targets of missile attacks by para-military forces affiliated with the Iranian regime before.”
Regarding the timing of the statement and the call by the Arab associations, institutions and personalities, Moussavi said: “The timing is related to the hearing at the Congress by the U.S. Secretary of State; considering that the Americans have the security situation in Iraq under their observation, and especially since they realize that the current attack on camp Liberty was planned by Iran and believe that further attacks are likely to happen against the camp, therefore we are telling the American side that these concerns are real and it is necessary to take action for protection of the lives of residents of the camp.”
Moussavi said: “Currently, there are 3,000 people at Camp Liberty, while its area is less than 500 square meters.” He said: “Camp residents are inside trailers that are easy to target, and they receive no service of any kind. They are subject to aggression and live under continuous threat.”
He stated that the goal of returning them to Ashraf—a camp where they used to reside—is to protect them from being massacred, and said: “Ashraf’s area is 36 square kilometers and after its residents were dislocated to Liberty, only 100 people stayed behind to watch the camp and prevent expropriation of their properties.”
“We call for returning the residents to Camp Ashraf, because there are strong and equipped buildings there which were built by the residents before,” he said.

lundi 22 avril 2013

Amir Chamani returned to prison

Amir Chamani
HRANA News Agency – Amir Chamani, the students’ activist returned to the Tabriz prison April 19, 2013 to serve rest of his sentence.

According to a report by Human Rights Activists News Agency (HRANA), Amir Chamani had come for vacation on April 15, 2013. He was arrested in his home on January 13, 2013 and was transferred to the central prison of Tabriz to serve his 9 months sentence of prison after being kept in the intelligence of Tabriz for 2 weeks.

This MA student of sociology in the Tabriz Azad University was released on the bail of 50 Million Thomans after being under integration for several times and afterwards was sentenced to 6 months of prison on charge of insulting the leader and the establisher of the Islamic Republic, 91 days of prison on charge of propaganda against the government and 40 lashes on the charge of insulting the president by the section 1 of the revolutionary court of Tabriz by the Judge Hamlbar.

No Information About Kurdpour Brothers, The Kurdish Arrested Activists

Kurdpour brothers

HRANA News Agency – Despite being under arrest for more than 40 days, still there is no news about Masoud Kurdpour and his brother Khosro two Kurdish human rights activists.
According to a report by Human Rights Activists News Agency (HRANA), on April 15, 2013 the Kurdpour brothers’ lawyer and their family haunt to the Mahabad court but in spite of the officials promises, they were unable to visit Masoud and Khosro.
Till now some of officials such as Zaheri the dossier investigator and Hazrati the head of Mahabad court issued the visitation permit but the Mahabad intelligence was inattention to the legal permit and take it as a joke.
Last week authorities said to Kurdpour’s family that they should follow up their offsprings condition through contacting 113 while even the personal stuff of Khosro Kurdpour’s wife still confiscated.
Khosro Kurdpour arrested on March 7, 2013 by invasion of security forces to his home and his brother Masoud arrested the day after, when he went to Mahabad Etela’at to follow up Khosro’s condition.
Khosro Kurdpour is the administrator of Moukrian news agency which covers the human rights news in Iran.

Un prisonnier politique iranien gravement malade privé de soins médicaux

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Un détenu politique est privé de soins médicaux à la prison d’Evine de Téhéran parce qu’il a refusé d’être transporté à l’hôpital enchaîné et menotté.
Mohammad Banazadeh Amirkhizi, âgé de 64 ans – dont un parent est au camp Liberty en Irak – vient s’ajouter à la longue liste de prisonniers politiques iraniens privés de soins médicaux urgent.
M. Banazadeh est détenu dans la section 209 d’Evine depuis 18 mois, et le ministère du Renseignement lui a dit qu’il ne pouvait être emmené à l’hôpital qu’enchaîné.
En dépit de la gravité de son état, il a refusé ces conditions humiliantes, affirment des rapports des défenseurs des droits humains en Iran en date du 18 avril.

Iran: 23 prisoners executed in cities across country

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The anti-human clerical regime executed nine prisoners in two groups in central prisons of Kerman and Zahedan on April 20 with two Afghanistan citizens. Two days prior, two prisoners in Mashhad, another in Zarand prison in Kerman province, and a twenty-five year old by name of Hossein Chofleki in Gohardasht prison had been executed. One of those executed was a 21 year old laborer. On April 16 , state-run media reported of nine executions of prisoners in Shiraz with six hanged in public. Yet another young man, Omid Shojaei of age 30, was also hanged in Bandar Abbas prison on April 11.
Also previously, in a time span of just 13 days starting on 19 February 2013, eighty-two prisoners were executed in various prisons or in public across the country.
At the same time, thousands of prisoners are on the death row in prisons across country, including over 1100 prisoners in Gohardasht prison, 100 prisoners in central prison of Zahedan, and at least 100 prisoners in Bandar Abbas prison.
Wave of arrests in various cities, including the arrest of 210 youth in Ahwaz in just a five week span, and initiating patrols by SSF are amongst other suppressive measures by the regime in recent weeks. On the eve of its sham elections, while feuding between regime’s leaders has reached unprecedented levels and is reaching its final stage, and in fear of eruption of wrath of people under immense pressures that the regime calls them the “army of hungry”, the clerical regime has found its only escape in intensifying its crimes and suppression.
Denouncing the inaction in face of barbaric crimes of mullahs ruling Iran, the Iranian Resistance calls on all international bodies and human rights organizations to adopt urgent actions to stop this criminal trend.

Secretariat of the National Council of Resistance of Iran
April 21, 2013

La FIFA proteste contre une exécution dans un stade en Iran

La Fifa a adressé une lettre de protestation à la fédération iranienne de football pour lui demander de ne pas autoriser les exécutions dans les stades, indique une dépêche du site officiel Asr-e-Iran le 22 avril.
Le président de la fédération de football précise que la lettre fait référence à une pendaison au stade de la ville de Sabzevar il y a deux mois de cela.

Les Iraniens manifestent à Genève

Associated Press, 19 avril (photo Salvatore Di Nolfi/AP/SIPA) – L’ancienne otage franco-colombienne Ingrid Betancourt, au centre-droit, participle à une manifestation avec les partisans du  Conseil national de la résistance iranienne pour marquer le début de la troisième année de sit-in, à Genève, en faveur de la protection des habitants iraniens du camp Liberty et d’Achraf durant un rassemblement à Genève, en Suisse, vendredi  19 avril 13

samedi 20 avril 2013

Iranians protest outside UN in Geneva enters its 3rd year

The Anti-Iranian regime

NCRI, 19 April 2013  - The protest against the Iranian regime and in support of residents of Camp Liberty and Camp Ashraf outside the United Nation’s Headquarters in Geneva by supporters of the People’s Mojahedin Orgnaization of Iran (PMOI/MEK) and the Iranian Resistance has entered its third year.
 
 The protest demands an immediate action to protect the dissidents in Camp Liberty.
 
The demonstrators - many of whom have family and friends in Camp Liberty and Ashraf - demand the UNHCR to return all residents to Ashraf after the deadly February 9 rocket attacks on Camp Liberty that left 8 people killed.
 
Camp Liberty near Baghdad houses thousands of PMOI members in Iraq who were forcibly evicted from their 26 years home in Camp Ashraf.

vendredi 19 avril 2013

Kerry accuse l'Iran d'être responsable de l'attaque contre le camp Liberty


AFP, 17 avril - Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a accusé mercredi le gouvernement iranien d'être responsable d'une attaque meurtrière, en février, contre un camp d'opposants iraniens en Irak, et a exprimé ses craintes d'une nouvelle attaque.
"Je crois que c'est le gouvernement iranien qui est derrière les attaques" du 9 février contre le camp Liberty, qui abrite quelque 3.000 opposants iraniens de l'Organisation des Moudjahidine du peuple iranien (OMPI), a déclaré M. Kerry devant la commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants.
"Je suis très inquiet de la possibilité d'une nouvelle attaque", a aussi affirmé M. Kerry aux élus.
Situé près de Bagdad sur une ancienne base américaine, le camp Liberty a été la cible le 9 février d'une attaque au mortier et à la roquette, qui a fait huit morts et des dizaines de blessés, selon l'opposition iranienne, qui accuse aussi Téhéran d'être responsable de cette attaque.
M. Kerry a indiqué avoir abordé cette question avec le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki lors d'une rencontre le mois dernier à Bagdad, et s'est dit "inquiet de la situation en termes de sécurité" dans ce camp.
Le camp abrite des opposants évacués en 2012 d'un autre camp de réfugiés en Irak, Achraf, au terme d'un accord entre l'ONU et Bagdad. Liberty est considéré comme un camp de transit avant le départ des Moudjahidine d'Irak, où ils sont arrivés dans les années 80.
M. Kerry a aussi fait part de sa frustration face à la lenteur du processus d'accueil de ces opposants iraniens. "Nous avons contacté un nombre incalculable de pays. Et un nombre incalculable de pays a refusé", a-t-il affirmé.

Les Iraniens manifestent devant l’ONU à Genève pour la 3e année



CNRI – Le mouvement de protestation contre le régime iranien, en soutien aux habitants des camps d’Achraf et Liberty devant le siège de l’ONU à Genève, mené par les sympathisants de l’organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (Ompi) et la résistance iranienne vient d’entrer dans sa troisième année consécutive.
Les manifestants demandent une action immédiate pour protéger les opposants iraniens qui se trouvent au camp Liberty en Irak.
Beaucoup de ceux qui manifestent ont de la famille et des amis aux camps Liberty et à Achraf. Ils appellent le HCR à ramener à Achraf l’ensemble des habitants de Liberty, après une attaque à la roquette sur ce camp le 9 février qui a fait 8 morts et une centaine de blessés.
Le camp Liberty près de Bagdad abrite 3100 membres de l’OMPI, la principale opposition démocratique au régime des mollahs en Iran. Ces réfugiés ont été forcés de quitter Achraf, cité qu’ils ont construite au fil de 26 ans d’exil. Ce déplacement forcé calculé par Téhéran avec la complicité du gouvernement irakien et du représentant de l’ONU en Irak, Martin Kobler, les a conduit à Liberty, jugé par le groupe de travail de l’ONU sur la détention arbitraire comme une prison à ciel ouvert.

Iran : Des prisonniers politiques identifient des tortionnaires

CNRI – Des prisonniers politiques iraniens ont publiquement identifié deux tortionnaires du régime, coupables de torture et d’assassinats sur la minorité musulmane sunnite, indiquent des rapports venus d’Iran le 15 avril.
Les détenus politiques de la province du Baloutchistan ont d’abord identifié Hossein Ali Shahriari, un député de Zahedan, qui a participé à la destruction d'une mosquée sunnite en 2008.
Il a ordonné l'assassinat d’autres religieux sunnites et dirigeants baloutches. Son fils assure la relève au ministère du renseignement (Vevak) où il officie lui aussi comme bourreau.
Le second criminel est Mohammad Ali Sari, le maire de Sarbaz, près de la ville de Chabahar.
Il a été identifié comme agent du Vevak, dont les rapports sur les victimes ont conduit à leur arrestation, emprisonnement, torture et assassinat.
Il a également torturé et tué personnellement de nombreux innocents, y compris un religieux sunnite, qu’il a dit avoir empoisonné il y a plusieurs années.

Mohammad Bagher Alavi is released

                                Mohammad Bagher Alavi
HRANA News Agency – Mohammad Bagher Alavi, a member of “the freedom movement of Iran” has been released.
According to a report by the Mizan website, he has been released on April 16, 2013 after 31 days of being under arrest.
Mohammad Bagher Alavi was arrested on March 16, 2013 in his home and then was transferred to section 209 of the Evin prison.
He had been arrested once in the summer of 2009 after the presidency elections and was kept in the solitary for 40 days.
Mohammad Motamedi Mehr, the administrator of the committee of education of the “Freedom movement of Iran” has been arrested on March 16, 2013 and is still in the solitary.

Maliki’s justice minister trip to Tehran to receive mullahs’ orders against PMOI and Iraqi dissidents

                                     NCRI


 
Mullahs’ justice minister: We are most thankful for Iraq’s provisions against Monafeqin and their eviction

Hassan al-Shemeri, Maliki’s Minister of Justice, travelled to Tehran on April 17 to receive clerical regime’s orders against the PMOI in camps Ashraf and Liberty, as well as against Iraqi dissidents. The day before, he had announced execution of 21 Iraqi political prisoners and added that the executions would continue even if Iraq becomes number one country in the world in executions.
Shemeri who is in direct contact with the terrorist Qods Force, in his meeting with mullahs’ justice minister said: “We consider existence of PMOI as a threat to the government of Iraq… Iraqi government has a special viewpoint on this group and as you know, Saddam used this group to suppress the uprising in Iraq.” (ISNA state-run news agency, April 17)
IRGC news agency (Fars), quoting regime’s justice minister addressing Shemeri, wrote on April 17: “We are most thankful for provisions of country of Iraq regarding the PMOI and their eviction… if Iranian people loath American behavior, one of the reasons is the double standard of that country’s leaders vis-à-vis terrorist grouplets, especially the Monafeqin.”
Shemeri’s visit to Tehran comes two weeks after a trip by mullahs’ Gestapo minister Haidar Moslehi to Iraq. Moslehi who faced widespread opposition from Iraqi people in his trip said: “Seriously following up PMOI expulsion from Iraq… will be specifically addressed in this trip. We insist this collection be removed from inside Iraq as soon as possible and with the coordination already in place, God willing, this collection will be soon removed from inside Iraq.” (Iran state-run News Network TV- April 2)
Shemeri who has had many trips to Tehran, on 11 April 2011, which is three days after the second massacre in Ashraf, speaking at Iraq’s Council of Ministers meeting, said: “The issue is not eviction of PMOI from Iraq, but that all PMOI members should be killed.”
Moslehi’s trip to Baghdad and Shemeri’s visit to Tehran foretell conspiracies of the clerical regime and its puppet government in Iraq against residents of camps Liberty and Ashraf and a paving of way for the fourth bloodbath. Therefore, the Iranian Resistance brings the attention of UN Secretary-General, the High Commissioner for Refugees, and the U.S. government to the imperative need to adopt urgent measures to provide safety and protection to residents of Ashraf and Liberty.

Secretariat of the National Council of Resistance of Iran
April 18, 2013




                                                     
 

jeudi 18 avril 2013

Iran : Les candidats aux élections qui ne partagent pas les opinions de Khamenei seront éliminés

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Les candidats à l’élection présidentielle du régime iranien ont été avertis qu’ils ne peuvent se présenter au scrutin de juin que si leurs opinions sont « identiques » à celles de Khamenei, le guide suprême des mollahs.
L’étrange décret a été transmis par le Conseil des Gardiens, qui approuve les candidats.
Mohammad Momen, qui siège à ce conseil, a déclaré le 14 avril à l’agence officielle Fars : « Si nous soupçonnons une quelconque déviance chez qui que ce soit, il sera disqualifié. Le Conseil des Gardiens est d’une extrême vigilance sur les signes de déviance. Celui qui se sent visé doit savoir que nous ne sommes pas prêts à discuter et que nous ne céderons pas. »
Ses propos interviennent en pleines spéculations comme quoi le conseil n’approuvera pas le favori d’Ahmadinejad Rahim Masha’i – qui a d’ores et déjà été estampillé « déviant ».
Le conseil est composé de six « experts en loi islamique », tous sélectionnés par Ali Khamenei, et de six « juges » sélectionnés par le parlement – mais qui ont également été nommés juges par le guide suprême.
La mascarade électorale avive la panique au sein du régime, redoutant une répétition des manifestations massives de rues qui ont marqué le scrutin de 2009.
Ahmad Khatami, un membre de la puissante Assemblée des Experts de l’Iran, a déclaré la semaine dernière : « Durant l’insurrection de 2009, le peuple cherchait à renverser les piliers centraux de notre société. Par conséquent, nous devons nous tenir derrière le guide et ne pas autoriser à ce que ce pilier central devienne instable. »
Un autre membre de l’Assemblée des Experts Mohammad Taghi Mesbah Yazdi a taxé les factions rivales de « sataniques » et toute opposition à Khamenei de « blasphème ».

Iran: Two prisoners hanged in Kerman and Karaj

                                                       
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The Iranian regime’s henchmen have hanged two prisoners on Wednesday in southern city of Kerman and city of Karaj.
Hossein Cheflaki, 25, was hanged early morning in Wednesday in Gohardasht prison.
On Wednesday, two other prisoners were hanged in northeastern city of Mashhad.

A Bahai citizen has been arrested in Bandar Abbas

Babak Zeynali
HRANA News Agency – Babak Zeynali, the Bahai citizen who lives in Bandar Abbas has been arrested by the security forces in his home in the evening of April 15, 2013.
According to a report by Human Rights Activists News Agency (HRANA), the intelligence agents not only arrested him but also took his books, CDs and personal laptop with themselves.
The reports say that the agents had a violent behavior.
There is no report of the reason of this arrest yet.

Iran : Des prisonniers politiques identifient des tortionnaires

CNRI – Des prisonniers politiques iraniens ont publiquement identifié deux tortionnaires du régime, coupables de torture et d’assassinats sur la minorité musulmane sunnite, indiquent des rapports venus d’Iran le 15 avril.
Les détenus politiques de la province du Baloutchistan ont d’abord identifié Hossein Ali Shahriari, un député de Zahedan, qui a participé à la destruction d'une mosquée sunnite en 2008.
Il a ordonné l'assassinat d’autres religieux sunnites et dirigeants baloutches. Son fils assure la relève au ministère du renseignement (Vevak) où il officie lui aussi comme bourreau.
Le second criminel est Mohammad Ali Sari, le maire de Sarbaz, près de la ville de Chabahar.
Il a été identifié comme agent du Vevak, dont les rapports sur les victimes ont conduit à leur arrestation, emprisonnement, torture et assassinat.
Il a également torturé et tué personnellement de nombreux innocents, y compris un religieux sunnite, qu’il a dit avoir empoisonné il y a plusieurs années.

Iran : 9 exécutions en quelques heures à Chiraz

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                
Six condamnés pendus dans deux points de la ville
Dans une mesure cruelle, le régime inhumain des mollahs a exécuté le 16 avril neuf prisonniers. Six d’entre eux ont été pendus en public (un groupe de quatre et un groupe de deux) pour accentuer le climat de terreur. Trois autres détenus ont été exécutés dans la terrible prison d’Adel-Abad de Chiraz. (Agence de presse Mehr, affilié au ministère du Renseignement (Vevak) – 16 avril).
Battant un record de cruauté et de férocité entre le 20 février et le 4 mars, le fascisme religieux a pendu 82 détenus dans les prisons du pays et sur les places publiques. Il faut savoir cependant que les informations sur de nombreuses exécutions ne sortent jamais des prisons.
Cette répression sauvage trahit l’impuissance du régime et son effroi devant la montée de la colère populaire à l’approche de la mascarade électorale.
La Résistance iranienne appelle l’ensemble des instances internationales et de défense des droits humains à intervenir pour faire cesser d’urgence ces crimes.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 17 avril 2013


mardi 16 avril 2013

France : manifestation de soutien aux opposants iraniens du camp Liberty en Irak



AFP, 13 avril - Plusieurs centaines de personnes ont manifesté samedi à Paris en soutien aux opposants iraniens du Camp Liberty en Irak à l'appel de l'Organisation du Conseil national de la résistance iranienne (CNRI) après la mort de huit personnes dans ce camp près de Bagdad début février.
"Le Haut commissariat aux réfugiés doit assumer la responsabilité totale du Camp Liberty", ont proclamé les manifestants après un hommage aux victimes.
Située sur une ancienne base américaine, le camp Liberty abrite quelque 3.000 opposants iraniens de l'Organisation des Moudjahidine du peuple iranien (OPMI).
Il s'agit d'opposants évacués en 2012 d'un autre camp de réfugiés en Irak, Achraf, au terme d'un accord entre l'ONU et Bagdad. Liberty est considéré comme un camp de transit avant le départ des Moudjahidine d'Irak, où ils sont arrivés dans les années 80.
Le camp Liberty a été la cible le 9 février d'une attaque au mortier et à la roquette, qui a fait huit morts et des dizaines de blessés, selon l'opposition iranienne, qui accuse Téhéran.
Les manifestants ont aussi demandé la mise à l'écart de l'envoyé en Irak de l'ONU, Martin Kobler, l'accusant d'avoir menti aux habitants du camp de Liberty en les envoyant dans "une prison à ciel ouvert", après leur avoir donné "des fausses promesses de sécurité et de transferts rapides vers des pays tiers".
Un Moudjahidine résident du camp Liberty, Mohammad Hossein Barzmehri, 61 ans, est décédé samedi matin faute d'accès à des soins basiques, a indiqué le CNRI basé à Auvers-sur-Oise près de Paris dans un communiqué après la manifestation.
Dans une prise de parole avant la manifestation, qui visait aussi "la dictature religieuse en Iran", l'ancien patron des services secrets intérieurs français, Yves Bonnet, a suggéré à la France de "rompre ses relations avec l'Iran" et une reconnaissance du CNRI.
Les Moudjahidine du peuple sont la principale composante du CNRI. Après le Royaume-Uni en 2008 et l'Union européenne en 2009, les Etats-Unis les ont retirés fin septembre de leur liste noire des organisations "terroristes".


Séisme de magnitude 7/8 dans le sud-est de l’Iran



Maryam Radjavi : faire parvenir des secours indépendants aux sinistrés est un devoir national
A la suite d’un violent séisme de magnitude 8 sur l’échelle de Richter ayant frappé les villes de Saravan et Khach dans la province du Sistan-Balouchistan (sud-est de l’Iran), Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne a adressé ses condoléances aux familles des victimes et ses vœux de prompts rétablissements aux blessés. Elle a appelé l’ensemble de la population du Sistan-Balouchistan et des régions voisines à voler au secours des sinistrés pour sortir les victimes des décombres, évacuer les blessés et aider les sans-abris. Etant donné le retard important, a-t-elle souligné, que met le régime à faire parvenir l’aide et ses efforts pour minimiser les chiffres des pertes humaines et des dégâts matériels, il est primordial dans les conditions actuelles d’envoyer des secours indépendants.
Elle a rappelé que les structures non résistantes des habitations des villes et des villages et les faiblesses criantes du système sanitaire et médical qui laissent les Iraniens démunis dans tout le pays face aux séismes successifs, est un des résultats funestes de la politique antipatriotique du régime du guide suprême qui consacre la majorité des revenus et de la richesse du pays à la machine de répression, du terrorisme et de la fabrication de l’arme atomique.
Dans le séisme sans équivalent depuis un demi-siècle survenu dans l’après-midi du 16 avril, la ville de Khach, où se trouve l’épicentre, a été entièrement détruite. Malgré cela, le QG de crise du régime des mollahs n’a jusqu’à présent reçu aucun rapport des dégâts.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 16 avril 2013