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mercredi 12 décembre 2012

Iran : Décès de deux écolières de 10 ans des suites de leurs brûlures

                  

Commission de l’Education nationale du CNRI : Le régime iranien responsable de la mort et des graves blessures de 38 écolières dans un incendie à Piranchahr
CNRI - Soheila Sadegh, présidente de la commission de l’Education nationale du CNRI, impute au régime des mollahs la responsabilité de la mort de deux écolières et des graves brûlures dont souffrent 36 autres petites filles, à la suite d’un incendie dans une école primaire dans un village de la banlieue de Piranchahr.
Un régime qui dilapide la richesse de la nation iranienne dans le projet nucléaire funeste, l’exportation du terrorisme et le bellicisme dans divers pays, ou qui déverse cette argent dans les comptes bancaires des dirigeants criminels et qui prive la population, la jeunesse et les enfants de ce pays de tous les moyens.
Exprimant ses profonds regrets pour ce drame, Mme Sadegh a adressé ses sincères condoléances aux familles des deux enfants décédées, et envoyé des vœux de prompt rétablissement pour les 36 blessées. Elle a fait part de toute sa compassion aux familles des victimes et à la population endeuillée de Piranchahr. Elle a appelé ses compatriotes à aider ces familles et ces enfants.
38 écolières du village de Chinabad, près de Piranchahr, ont été la proie des flammes quand dans leur classe, une petite pièce sans le moindre équipement de secours, le chauffage au pétrole a pris feu. La porte de la classe n’avait même pas de poignée pour que ces enfants dont les vêtements étaient en feu, puissent s’échapper du brasier. Gravement brûlées, Siran Yeganeh et Elham Ameneh Esmaïlpour, âgées de 10 ans, sont mortes dans de terribles souffrances quelques jours plus tard.
La population avait à plusieurs reprises dénoncé le manque de sécurité et les risques d’incendie dans cette école. Morteza Omrani, vice-ministre de l’Education nationale, n’a pas eu honte de dire que 30% des 500.000 établissements scolaires du pays se trouvent dans le même état que cette école. C’est pourquoi d’autres tragédies sont à craindre.

Mme Sadegh a imputé la responsabilité de ce drame au ministre de l’Education nationale des mollahs et à son vice-ministre qui ont fait reposer la faute sur le « chauffage ». « La vision de ces enfants au visage et au corps brûlés, a-t-elle dit, plonge tout être humain dans la peine et l’accablement. Les responsables pour avoir livré à la mort des enfants qui il y a quelques semaines avaient été emmenées en visite forcée sur les anciens champs de bataille où elles avaient perdu des membres de leurs familles et qui sont confrontées à des dizaines de crimes tous les jours dans ce pays, ne sont autres que le guide suprême des mollahs et les dirigeants de ce régime. »
Elle a souligné que la seule solution pour libérer le peuple iranien de toutes ces souffrances reste le renversement de la totalité de ce régime inhumain. Elle a appelé la population et en particulier la jeunesse à se soulever contre les mollahs.
Commission de l’Education nationale du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 11 décembre 2012
 

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