CNRI- Des gangs criminels du régime iranien ont importé des voitures et les biens de luxe chargés sur 75 navires, sous couvert de médicaments et d'autres biens de première nécessité.
Mahmoud Bahmani, directeur général de la Banque centrale en Iran a déclaré que les gangs exploitaient la baisse du taux de change pour importer des médicaments afin d’économiser des sommes énormes sur les importations de luxe.
Conformément à la politique de change en Iran, les importations de médicaments et de biens de première nécessité se font au taux de 12.260 rials par dollar, tandis que le taux du marché libre est de 30.000-32.000 rials par dollar.
De cette façon, les gangs gagnent environ 20.000 rials sur chaque dollar en important des véhicules et des produits de luxe à un taux inférieur, a dit Bahmani.
Mahmoud Bahmani, directeur général de la Banque centrale en Iran a déclaré que les gangs exploitaient la baisse du taux de change pour importer des médicaments afin d’économiser des sommes énormes sur les importations de luxe.
Conformément à la politique de change en Iran, les importations de médicaments et de biens de première nécessité se font au taux de 12.260 rials par dollar, tandis que le taux du marché libre est de 30.000-32.000 rials par dollar.
De cette façon, les gangs gagnent environ 20.000 rials sur chaque dollar en important des véhicules et des produits de luxe à un taux inférieur, a dit Bahmani.
Il a déclaré à l’agence officielle Tasnim : « Ils ont reçu des devises au taux officiel pour 83 navires chargés de médicaments et de produits de première nécessité importés, mais seulement huit cargos en étaient chargés. Les 75 autres contenaient des produits de luxe».
La révélation arrive en pleines luttes intestines au sein de l'élite dirigeante au sujet de la grave pénurie de médicaments en Iran.
Bahmani, qui va bientôt quitter son poste, a déclaré que les gangs ont mis sous pression la Banque Centrale afin d'allouer le troc au taux officiel d'importation des produits de luxe, permettant ainsi de détourner d'énormes sommes d'argent provenant des actifs de la Banque Centrale.
La révélation arrive en pleines luttes intestines au sein de l'élite dirigeante au sujet de la grave pénurie de médicaments en Iran.
Bahmani, qui va bientôt quitter son poste, a déclaré que les gangs ont mis sous pression la Banque Centrale afin d'allouer le troc au taux officiel d'importation des produits de luxe, permettant ainsi de détourner d'énormes sommes d'argent provenant des actifs de la Banque Centrale.
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