Elle condamne le massacre de 1300 personnes, en particulier des femmes et des enfants
Appel à des mesures urgentes internationales contre la dictature syrienne et le régime iranien, qui sont les auteurs de ce crime de guerre
CNRI - Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne, condamne avec force l’attaque chimique lancée dans la matinée du 21 aout dans la banlieue de Damas et le massacre de plus de 1300 innocents, en particulier des femmes et des enfants.
Elle appelle la communauté internationale, surtout les USA et l’UE, à prendre des mesures urgentes contre les responsables de ce crime de guerre sans précédent, à savoir le régime syrien et le fascisme religieux au pouvoir en Iran.
Elle a ajouté que le nombre croissant et effroyable de victimes de ce crime de guerre et les scènes épouvantables de ces innombrables enfants en bas âge qui ont été tués, blessent la conscience de l’humanité. Le silence et l’inaction de la communauté internationale face aux attaques précédentes du pouvoir syrien l’ont encouragé à lancer l’agression sans précédent de la matinée du 21 aout. L’absence de réaction rapide du Conseil de Sécurité de l’ONU et l’absence de renvoi du dossier de ce carnage et de ses responsables à une cour de justice internationale, revient à se moquer de la paix, de la justice et des droits humains dans le monde aujourd’hui.
Nul n’ignore, a précisé Mme Radjavi, que sans la présence des pasdaran, des armes et des dollars du régime iranien, cela fait longtemps que Bachar Assad aurait été renversé. Aujourd’hui, en envoyant des hordes de pasdarans, toutes sortes d’armes et en déversant des dizaines de milliards de dollars des biens du peuple opprimé d’Iran, c’est le fascisme religieux au pouvoir en Iran qui maintient ce régime criminel en place.
Ahmad El-Jarba, dirigeant de la coalition de l’opposition syrienne a déclaré le 18 aout au journal arabe Al-Hayat que « les véritables gouvernants de la Syrie, sont les commandants des pasdaran. Les pasdaran se battent contre nous dans les rues de Damas. Ghassem Soleimani commande les opérations militaires. Les miliciens irakiens sur ordre de l’Iran sont envoyés se battre en Syrie. Maliki fait entrer des combattants intégristes et extrémistes en Syrie et donne la permission aux avions iraniens qui transportent des armes de traverser l’espace aérien irakien. Les Houthis viennent du Yémen avec l’aide du régime iranien et Hassan Nasrollah a reconnu être un soldat du guide suprême pour tuer le peuple syrien. L’armée d’Assad s’est effondrée. Aujourd’hui nous sommes face à une armée dirigée par le régime iranien qui nous a imposé une guerre totale avec des armes sophistiquées. »
Le mollah Reza Taghavi, chef des imams de la prière du vendredi, a déclaré la veille de cette tuerie barbare : « Aujourd’hui c’est [Khamenei] qui dirige le sud Liban, qui maintient Gaza la tête haute et qui renforce la résistance de la Syrie face aux infidèles (...) le peuple égyptien (...) n’a pas de dirigeant ni de guide suprême et c’est pourquoi aujourd’hui dans ce pays se commettent des massacres. »
Le mollah Amar Taeb, proche de Khamenei avait déclaré le 14 février dernier que la Syrie était la 35e province iranienne. Rohani, le nouveau président des mollahs, a qualifié le gouvernement syrien de représentant légitime du peuple, et lors de sa rencontre avec le premier ministre d’Assad le 4 aout, il avait déclaré : « Aucune force au monde ne peut affecter nos relations avec le gouvernement syrien. »
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 21 aout 2013
Elle a ajouté que le nombre croissant et effroyable de victimes de ce crime de guerre et les scènes épouvantables de ces innombrables enfants en bas âge qui ont été tués, blessent la conscience de l’humanité. Le silence et l’inaction de la communauté internationale face aux attaques précédentes du pouvoir syrien l’ont encouragé à lancer l’agression sans précédent de la matinée du 21 aout. L’absence de réaction rapide du Conseil de Sécurité de l’ONU et l’absence de renvoi du dossier de ce carnage et de ses responsables à une cour de justice internationale, revient à se moquer de la paix, de la justice et des droits humains dans le monde aujourd’hui.
Nul n’ignore, a précisé Mme Radjavi, que sans la présence des pasdaran, des armes et des dollars du régime iranien, cela fait longtemps que Bachar Assad aurait été renversé. Aujourd’hui, en envoyant des hordes de pasdarans, toutes sortes d’armes et en déversant des dizaines de milliards de dollars des biens du peuple opprimé d’Iran, c’est le fascisme religieux au pouvoir en Iran qui maintient ce régime criminel en place.
Ahmad El-Jarba, dirigeant de la coalition de l’opposition syrienne a déclaré le 18 aout au journal arabe Al-Hayat que « les véritables gouvernants de la Syrie, sont les commandants des pasdaran. Les pasdaran se battent contre nous dans les rues de Damas. Ghassem Soleimani commande les opérations militaires. Les miliciens irakiens sur ordre de l’Iran sont envoyés se battre en Syrie. Maliki fait entrer des combattants intégristes et extrémistes en Syrie et donne la permission aux avions iraniens qui transportent des armes de traverser l’espace aérien irakien. Les Houthis viennent du Yémen avec l’aide du régime iranien et Hassan Nasrollah a reconnu être un soldat du guide suprême pour tuer le peuple syrien. L’armée d’Assad s’est effondrée. Aujourd’hui nous sommes face à une armée dirigée par le régime iranien qui nous a imposé une guerre totale avec des armes sophistiquées. »
Le mollah Reza Taghavi, chef des imams de la prière du vendredi, a déclaré la veille de cette tuerie barbare : « Aujourd’hui c’est [Khamenei] qui dirige le sud Liban, qui maintient Gaza la tête haute et qui renforce la résistance de la Syrie face aux infidèles (...) le peuple égyptien (...) n’a pas de dirigeant ni de guide suprême et c’est pourquoi aujourd’hui dans ce pays se commettent des massacres. »
Le mollah Amar Taeb, proche de Khamenei avait déclaré le 14 février dernier que la Syrie était la 35e province iranienne. Rohani, le nouveau président des mollahs, a qualifié le gouvernement syrien de représentant légitime du peuple, et lors de sa rencontre avec le premier ministre d’Assad le 4 aout, il avait déclaré : « Aucune force au monde ne peut affecter nos relations avec le gouvernement syrien. »
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 21 aout 2013
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