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vendredi 20 septembre 2013

Une conférence internationale à Genève met en garde contre un massacre à Liberty


Un appel urgent aux USA et à l’ONU, en particulier au Haut commissariat des droits humain à agir de toute urgence pour sauver les 7 Achrafiens pris en otages qui risquent d’être livrés au régime iranien
Le 20 septembre, lors d’une grande conférence internationale à Genève, Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne, tout en condamnant les 20 jours de silence et d’inaction face à la situation effroyable des sept demandeurs d’asile Achrafiens, dont six femmes, pris en otages par les tueurs de Maliki, et depuis près de trois semaines sous la torture et des interrogatoires, a appelé les USA, l’ONU et Navi Pillay, la Haut commissaire au droits de l’homme, à respecter leurs engagements légaux et moraux, pour faire libérer sans délai les otages. Elle a ajouté que selon des informations précises et exactes venant de sources diverses, les otages sont aux mains du gouvernement irakien. Ces détails ont été fournis aux autorités américaines, au HCR, au Haut commissariat aux droits de l’homme et à l’Union européenne.
Mme Radjavi a ajouté : le massacre du 1er septembre à Achraf fait de l’insécurité de Liberty un cas d’urgence absolue. La malveillance du gouvernement irakien apparait dans le fait que malgré les conseils et les requêtes du Secrétaire d’Etat américain et de ses autres responsables, il fait toujours obstacle au transfert des équipements de protection personnel et médicaux d’Achraf à Liberty, et ne donne pas l’autorisation du retour au camp des 17.500 murs de protection des baraquements.

Mme Radjavi a déclaré : comme le gouvernement irakien n’a aucune compétence pour protéger les habitants et qu’il est leur meurtrier, une équipe d’observateurs de l’ONU et des casques bleus doivent s’installer en permanence dans l’enceinte du camp Liberty. Parce que sans la présence d’une troisième force à Liberty, on ne peut imaginer de sécurité.

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