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dimanche 6 octobre 2013

Les otages d’Achraf sont contrôlés par Maliki en personne selon des documents pouvant être présentés à la justice

                              
C’est Maliki qui donne les ordres de déplacement des otages, du changement de gardiens, d’interrogateurs et du personnel pénitencier

Selon les renseignements et les documents obtenus récemment par la Résistance iranienne de l’intérieur du régime iranien, Maliki suit personnellement le dossier des sept otages d’Achraf et détermine aussi personnellement le lieu de détention et la manière de les y emmener.

Delon ce document qui peut-être présenté devant un tribunal, dans une réunion fin septembre avec des responsables de la sécurité, Maliki a multiplié les ordres dans le but de garder secret le lieu de détention des sept otages d’Achraf et la manière criminelle dont ils sont traités.

Certaines des mesures prises comprennent un changement dans le système de transfert des otages, le changement permanent de leur lieu de détention, le changement de leurs gardiens et du personnel qui les gardent et le changement de leurs interrogateurs.

En soulignant que le document concerné lève le moindre doute sur le rôle du gouvernement irakien et la personne de Maliki dans l’attaque d’Achraf, le massacre et les exécutions collectives des Achrafiens, ainsi que la prise d’otages,  la Résistance iranienne demande au gouvernement américain et à l’ONU d’intervenir immédiatement pour mettre fin à cette prise d’otages d’Etat qui relève clairement du crime contre l’humanité. Elle leur demande de contraindre Maliki à les libérer.

La Résistance iranienne rappelle que le gouvernement américain et l’ONU sont directement responsables de la santé et de la sécurité des otages. Elle souligne que le silence devant un crime contre l’humanité et un enlèvement d’Etat est une tâche de honte. La Résistance est prête à fournir des explications et des détails sur la présence des otages en Irak, aux instances et aux autorités concernées aux USA et à l’ONU. Toutes feintes d’ignorer leur présence en Irak ou de la démentir, sert uniquement de prétexte à l’inaction face à un grand crime contre l’humanité.

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 5 octobre 2013 

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