Pages

mardi 26 novembre 2013

Iran: Nouveaux documents et informations sur la présence des 7 otages d’Achraf en Irak

                              
Selon des informations, des rapports et des documents dignes de foi nouveaux de l’intérieur du régime iranien, les 7 otages d’Achraf sont toujours en Irak sous le contrôle des forces spéciales du premier ministre Nouri Maliki. Ils se trouvent dans la Zone verte de Bagdad, dans une cache dont l’extérieur ne ressemble en rien à une prison mais plutôt à la résidence d’une haute autorité du pouvoir.

Très peu de gens ont accès à cette demeure. Certains proches de Maliki comme le général Farouk Al-Aradji, son chef de cabinet militaire, Falah Fayaz, son conseiller à la sécurité nationale, et Ahmad Maliki son fils, sont au courant de son existence. C’est son fils qui est chargé de la sécurité et la surveillance de ce lieu.

Les rapports envoyés par le ministère du Renseignement (Vevak) au bureau de Khamenei, le guide suprême des mollahs, montrent que les tortionnaires du Vevak ont interrogé à plusieurs reprises les otages dans cette demeure et que les résultats ont été envoyés à Téhéran via l’ambassade.

Les caractéristiques de certains quartiers où les otages sont gardés ont été mises à la disposition des autorités concernées sur le plan internationales.
D’après ces rapports, avant son voyage aux USA, Maliki avait décidé de livrer ces otages au régime iranien, mais la campagne des Iraniens et des sympathisants de la Résistance, ainsi que la vive réaction de la Chambre des Représentants et du Sénat américains lors du déplacement de Maliki, lui ont fait craindre les conséquences d’une telle mesure. Il attend donc une autre occasion d’éliminer les otages ou de les livrer aux mollahs.

En soulignant à nouveau la responsabilité du gouvernement américain et de l’ONU dans la sécurité et la santé des otages, en tant que personnes protégées par la 4e convention de Genève et demandeurs d’asile bénéficiant de protection internationale, la Résistance iranienne appelle à une intervention urgente pour leur libération et à empêcher la poursuite de la torture, leur déportation ou leur élimination.

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 25 novembre 2013 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire