Sur ordre de Maliki, les forces irakiennes ont resserré le blocus et intensifié les pressions sur les habitants de Liberty. Sur des prétextes ridicules et par des actes de provocations, ils cherchent à imposer davantage de restrictions et déclencher des altercations afin de préparer le terrain à de nouveaux actes répressifs.
Chaque jour, ces forces perturbent les allers et venues des camions de vidange des eaux usées. Le 11 décembre, des agents du service de renseignement irakien, sur ordre d’Ahmad Khozeir, ont harcelé et insulté les équipes des camions de vidanges pour les empêcher de sortir du camp. Ils cherchent à provoquer des heurts. Cependant, face à la retenue dont font preuve les chauffeurs, un des agents a arraché la carte d’identité suspendue au cou d’un conducteur.
Chaque jour, ces forces perturbent les allers et venues des camions de vidange des eaux usées. Le 11 décembre, des agents du service de renseignement irakien, sur ordre d’Ahmad Khozeir, ont harcelé et insulté les équipes des camions de vidanges pour les empêcher de sortir du camp. Ils cherchent à provoquer des heurts. Cependant, face à la retenue dont font preuve les chauffeurs, un des agents a arraché la carte d’identité suspendue au cou d’un conducteur.
De plus, ils continuent à poser des obstacles à l’accès des habitants aux soins médicaux, au transport dans les hôpitaux et à l’entrée des entrepreneurs et des ingénieurs irakiens dans Liberty pour y creuser des canaux d’évacuation des eaux et remettre en état les routes rendues totalement impraticables par les pluies abondantes.
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