Avvenire (Rome), 20 décembre - 320 parlementaires italiens de divers partis politiques, ont signé une déclaration bipartite dans laquelle ils condamnent « les violations sans relâche des droits humains perpétrées par le gouvernement iranien actuel. »
Ils ont demandé à faire la lumière sur l’attaque contre des membres de la Résistance iranienne en exil dans le camp de réfugiés du camp d'Achraf, en Irak, il y a deux mois, au cours de laquelle 52 personnes ont été abattues et 7 enlevées, dont 6 femmes. Ils ont demandé que la sécurité de 3.000 opposants iraniens au camp Liberty, près de Bagdad, soit garantie.
Prenant en considération « la situation lamentable des opposants iraniens en Irak », «les parlementaires exigent » du gouvernement italien, de l’UE, des Etats-Unis et des Nations Unies des mesures adéquates pour faire « libérer les 7 otages, assurer la sécurité du camp Liberty, en y postant en permanence des casques bleus de l'ONU. »
Les parlementaires italiens ont également exprimé leur préoccupation du fait qu’après la dernière élection présidentielle et les 100 jours de Rohani a ses fonctions, « il n'y a pas de changements tangibles dans le régime ».
« En effet, pendant cette période, soulignent-ils, 320 personnes ont été pendues et la situation des droits humains se détériore », et les projets nucléaires se sont accélérés.
« Nous soutenons le plan en dix points de Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne, pour un Iran démocratique et non-religieux. »
Ils ont demandé à faire la lumière sur l’attaque contre des membres de la Résistance iranienne en exil dans le camp de réfugiés du camp d'Achraf, en Irak, il y a deux mois, au cours de laquelle 52 personnes ont été abattues et 7 enlevées, dont 6 femmes. Ils ont demandé que la sécurité de 3.000 opposants iraniens au camp Liberty, près de Bagdad, soit garantie.
Prenant en considération « la situation lamentable des opposants iraniens en Irak », «les parlementaires exigent » du gouvernement italien, de l’UE, des Etats-Unis et des Nations Unies des mesures adéquates pour faire « libérer les 7 otages, assurer la sécurité du camp Liberty, en y postant en permanence des casques bleus de l'ONU. »
Les parlementaires italiens ont également exprimé leur préoccupation du fait qu’après la dernière élection présidentielle et les 100 jours de Rohani a ses fonctions, « il n'y a pas de changements tangibles dans le régime ».
« En effet, pendant cette période, soulignent-ils, 320 personnes ont été pendues et la situation des droits humains se détériore », et les projets nucléaires se sont accélérés.
« Nous soutenons le plan en dix points de Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne, pour un Iran démocratique et non-religieux. »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire