Le 2 décembre, un responsable de la police des mollahs a approuvé les informations selon lesquelles il existe un trafic de jeunes filles iraniennes dans des pays arabes du Golfe persique.
Dans une interview avec l’agence Isna, Ali Sadeghi, chef du service de l’immigration et des passeports, a expliqué que la traite des jeunes filles se fait principalement en direction des Emirats-Arabes-Unis.
Il a également évoqué les activités de réseaux de traite des êtres humains vers d’autres pays. « Etant donné que les Iraniens n’ont pas besoin de visa pour aller en Turquie et en Malaisie, les victimes de ces trafics quittent légalement le pays, mais peuvent êtres emmenées dans d’autres Etats comme l’Australie, pour y travailler de façon clandestine. »
Auparavant, Esmaïl Ahmadi-Moghaddam, commandant en chef de la police des mollahs, avait affirmé que le trafic d’êtres humains se fait par l’intermédiaire de pays tiers.
Jusqu’à présent, aucune statistique officielle sur la traite des filles iraniennes dans les pays étrangers n’a été publiée.
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