Au cours de ces derniers jours, un nombre considérable d’officiers de la Force terroriste Qods des gardiens de la révolution du régime iranien ont débarqué à l’aéroport de Bagdad, transportant avec eux des roquettes thermiques.
Cette agitation survient alors que, selon des sources sûres, Ghassem Soleimani, le commandant de la Force Qods a demandé au premier ministre irakien Nouri al-Maliki de profiter de la situation actuelle en Irak pour attaquer et massacrer les habitants du camp Liberty et la population de certains quartiers sunnites de Bagdad.
Selon ces informations, Soleimani a suggéré à Maliki de mener des attaques en utilisant les forces irakiennes déguisées en milice de l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL). Pour cela Soleimani demande d’envoyer pour commettre ce forfait, tout particulièrement les membres de la division Dorée (surnommé la « sale division »), les membres du groupe Assaeb al-Haq et des membres de la force SWAT qui étaient impliqués dans le massacre du 1er septembre des résidents du camp d'Achraf.
Cette agitation survient alors que, selon des sources sûres, Ghassem Soleimani, le commandant de la Force Qods a demandé au premier ministre irakien Nouri al-Maliki de profiter de la situation actuelle en Irak pour attaquer et massacrer les habitants du camp Liberty et la population de certains quartiers sunnites de Bagdad.
Selon ces informations, Soleimani a suggéré à Maliki de mener des attaques en utilisant les forces irakiennes déguisées en milice de l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL). Pour cela Soleimani demande d’envoyer pour commettre ce forfait, tout particulièrement les membres de la division Dorée (surnommé la « sale division »), les membres du groupe Assaeb al-Haq et des membres de la force SWAT qui étaient impliqués dans le massacre du 1er septembre des résidents du camp d'Achraf.
L’utilisation de l'uniforme de l’EIIL - qui est un groupe fabriqué en Irak conjointement par Maliki et le régime iranien – aurait l’avantage de tromper les Américains, et aiderait le gouvernement irakien à échapper à toute responsabilité vis-à-vis de ces attaques- comme ce fut le cas après le massacre du camp d’Achraf le 1er septembre - et pourrait mettre la responsabilité des attaques sur le dos de milices irakiennes incontrôlées !
La Résistance iranienne rappelle avec gravité les responsabilités des États-Unis et de l'ONU en ce qui concerne la protection des habitants du camp Liberty dans cette situation extrêmement dangereuse. Ceci d’autant plus qu’après les exécutions collectives des habitants du camp d'Achraf le 1er septembre et la lourde attaque à la roquette sur le camp Liberty le 26 décembre, le gouvernement irakien continue de faire l’innocent et n'a fourni aucun des moyens de sécurité exigés pour la protection des habitants de Liberty.
Les exigences minimales de sécurité à Liberty, discutées des centaines de fois l’année dernière avec les États-Unis, l'ONU et le gouvernement irakien comprennent : le retour de 17.500 murs en béton en forme de T (T-walls), la fourniture d’un nombre suffisant de bunkers de béton de 2x2m, le transfert des casques de protection, des gilets de sécurité et des équipements médicaux du camp d'Achraf vers le camp Liberty, la construction de doubles toits pour les baraquements de Liberty, l'expansion de la superficie du camp afin de réduire la densité et donc de victimes humaines en cas d’attaque, le déploiement d’observateurs de l'ONU avec une équipe de Casques bleus 24 heures sur 24 à l'intérieur du camp.
La Résistance iranienne attire l’attention sur ces questions et appelle à l'intervention urgente du président américain, des ministres des Affaires étrangères de l'UE, du secrétaire d'Etat américain et du secrétaire à la Défense, du secrétaire général de l'ONU, du Haut commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, de la Haute commissaire des Nations Unies pour les droits de l'homme et de la Haute Représentante de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité.
La Résistance iranienne rappelle avec gravité les responsabilités des États-Unis et de l'ONU en ce qui concerne la protection des habitants du camp Liberty dans cette situation extrêmement dangereuse. Ceci d’autant plus qu’après les exécutions collectives des habitants du camp d'Achraf le 1er septembre et la lourde attaque à la roquette sur le camp Liberty le 26 décembre, le gouvernement irakien continue de faire l’innocent et n'a fourni aucun des moyens de sécurité exigés pour la protection des habitants de Liberty.
Les exigences minimales de sécurité à Liberty, discutées des centaines de fois l’année dernière avec les États-Unis, l'ONU et le gouvernement irakien comprennent : le retour de 17.500 murs en béton en forme de T (T-walls), la fourniture d’un nombre suffisant de bunkers de béton de 2x2m, le transfert des casques de protection, des gilets de sécurité et des équipements médicaux du camp d'Achraf vers le camp Liberty, la construction de doubles toits pour les baraquements de Liberty, l'expansion de la superficie du camp afin de réduire la densité et donc de victimes humaines en cas d’attaque, le déploiement d’observateurs de l'ONU avec une équipe de Casques bleus 24 heures sur 24 à l'intérieur du camp.
La Résistance iranienne attire l’attention sur ces questions et appelle à l'intervention urgente du président américain, des ministres des Affaires étrangères de l'UE, du secrétaire d'Etat américain et du secrétaire à la Défense, du secrétaire général de l'ONU, du Haut commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, de la Haute commissaire des Nations Unies pour les droits de l'homme et de la Haute Représentante de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité.
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