Le 7 janvier, les mollahs ont exécuté par pendaison sept prisonniers à Qazvine (ouest de Téhéran) et à Gatchsaran (sud-ouest de l’Iran).
Le mollah Esmaïl Sadeghi, le procureur du Tribunal révolutionnaire, dont les propos ont été rapportés par l’agence Fars des Pasdaran a affirmé que ces exécutions ont été effectuées « dans le cadre de la politique de fermeté menée contre les trafiquants de drogue ».
Les analystes estiment que ces exécutions visent à créer un climat de terreur au sein de la société iranienne pour faire face aux mouvements de protestation anti-régime qui se sont intensifiés ces derniers mois dans différentes ville du pays.
Le mollah Esmaïl Sadeghi, le procureur du Tribunal révolutionnaire, dont les propos ont été rapportés par l’agence Fars des Pasdaran a affirmé que ces exécutions ont été effectuées « dans le cadre de la politique de fermeté menée contre les trafiquants de drogue ».
Les analystes estiment que ces exécutions visent à créer un climat de terreur au sein de la société iranienne pour faire face aux mouvements de protestation anti-régime qui se sont intensifiés ces derniers mois dans différentes ville du pays.
Selon un décompte basé sur les nouvelles d’exécutions annoncées par les médias officiels, ces 30 derniers jours, au moins 80 personnes ont été exécutées en Iran.
Les analystes des affaires iraniennes estiment que cette augmentation des exécutions est un moyen que le régime iranien utilise pour faire une démonstration de force, d’autant plus que l’attitude du régime des mollahs lors des négociations nucléaires de Genève a été perçue par beaucoup d’Iraniens comme un aveu de faiblesse de ce régime.
Les analystes des affaires iraniennes estiment que cette augmentation des exécutions est un moyen que le régime iranien utilise pour faire une démonstration de force, d’autant plus que l’attitude du régime des mollahs lors des négociations nucléaires de Genève a été perçue par beaucoup d’Iraniens comme un aveu de faiblesse de ce régime.
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