Hassan Rohani, le président du régime des mollahs, a affirmé que « l’accord nucléaire de Genève signifie la capitulation des puissances mondiales face à la volonté de la nation iranienne. »
« Cet accord a brisé le barrage des sanctions » a-t-il ajouté dans une intervention au cours de son déplacement au Khouzistan, dans le sud-ouest de l’Iran, le 14 janvier.
Le porte-parole de la Maison Blanche, Jay Carney, a ainsi réagi aux propos de Rohani : « Cela ne nous surprend pas – et cela ne devrait pas non plus vous surprendre – de voir que les Iraniens décrivent l’accord à leurs concitoyens d’une autre façon. »
Dans un article du journal Washington Times, daté du 13 janvier, l’accord des Etats-Unis avec les mollahs iraniens a été qualifié de « suspect ». Ce journal a écrit : « Nous avons entendu des nouvellles inquiétantes selon lesquelles, notamment, l’Iran aurait obtenu l’autorisation de poursuivre ses activités de recherche sur les centrifugeuses. »
« Cet accord a brisé le barrage des sanctions » a-t-il ajouté dans une intervention au cours de son déplacement au Khouzistan, dans le sud-ouest de l’Iran, le 14 janvier.
Le porte-parole de la Maison Blanche, Jay Carney, a ainsi réagi aux propos de Rohani : « Cela ne nous surprend pas – et cela ne devrait pas non plus vous surprendre – de voir que les Iraniens décrivent l’accord à leurs concitoyens d’une autre façon. »
Dans un article du journal Washington Times, daté du 13 janvier, l’accord des Etats-Unis avec les mollahs iraniens a été qualifié de « suspect ». Ce journal a écrit : « Nous avons entendu des nouvellles inquiétantes selon lesquelles, notamment, l’Iran aurait obtenu l’autorisation de poursuivre ses activités de recherche sur les centrifugeuses. »
Abbas Araghtchi, le vice-ministre des Affaires etrangères du régime iranien, avait récemment affirmé pour sa part : « Dans cet accord, nous n’avons fait aucune concession. Tout est réversible et du jour au lendemain l’Iran peut revenir à la situation antérieure. »
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