Le 30 décembre 2013, les forces irakiennes aux ordres des services du Premier ministre ont commencé à transférer les murs de protection en T qui étaient entassés derrière les murs du camp Liberty, hors de ce secteur. Ces murs en T sont chargés dans des véhicules spéciaux et emmenés vers le sud et l’est du camp. Cette décision survient quatre jours à peine après la quatrième attaque à la roquette sur le camp, qui rend doublement nécessaire des mesures de protection.
Durant la présence des forces américaines au camp Liberty, 17.500 murs en T protégeaient les baraquements des éclats d’obus et de mortiers. Mais lorsque les membres de l’Ompi sont arrivés au camp Liberty, le gouvernement irakien a enlevé ces murs, malgré leur opposition.
Durant la présence des forces américaines au camp Liberty, 17.500 murs en T protégeaient les baraquements des éclats d’obus et de mortiers. Mais lorsque les membres de l’Ompi sont arrivés au camp Liberty, le gouvernement irakien a enlevé ces murs, malgré leur opposition.
A la suite de l’attaque à la roquette du 9 février, les habitants et leurs représentants ont demandé à maintes reprises aux autorités irakiennes, américaines et onusiennes de ramener les 17.500 dans le camp pour réduire la vulnérabilité des habitants et des baraquements. Il est certain qu’avec ces murs-en T, le nombre de morts et de blessés lors des bombardements auraient été bien moindre.
Une semaine après la quatrième attaque à la roquette, le gouvernement irakien continue aussi à empêcher la fourniture d’autres équipements pour assurer un minimum de sécurité comme le transfert depuis Achraf des casques et des gilets de protection et d’équipements médicaux. Un acte qui démontre clairement qu’il n’a pas la moindre intention d’assurer la sécurité des habitants du camp, mais qu’il cherche à causer davantage de pertes dans les probables futures attaques
Une semaine après la quatrième attaque à la roquette, le gouvernement irakien continue aussi à empêcher la fourniture d’autres équipements pour assurer un minimum de sécurité comme le transfert depuis Achraf des casques et des gilets de protection et d’équipements médicaux. Un acte qui démontre clairement qu’il n’a pas la moindre intention d’assurer la sécurité des habitants du camp, mais qu’il cherche à causer davantage de pertes dans les probables futures attaques
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