pour persécuter les habitants et leur rendre la vie insupportable
Le comité chargé de la répression des Achrafiens au cabinet du premier ministre irakien fait des obstacles à l’évacuation des eaux usées du camp Liberty depuis le 9 janvier pour augmenter la pression sur les habitants du camp et les persécuter.
Le major Ahmed Khozair, aux ordres des services du premier ministre et qui a pris part aux massacres des Achrafiens en 2009, 2011 et 2013, est responsable de l’application de cette mesure répressive. A la suite de la tuerie du 1 septembre, il a été transféré au camp Liberty et depuis, les habitants connaissent chaque jour de nouvelles difficultés qu’il créées avec ses hommes à l’entrée de Liberty.
Le comité chargé de la répression des Achrafiens au cabinet du premier ministre irakien fait des obstacles à l’évacuation des eaux usées du camp Liberty depuis le 9 janvier pour augmenter la pression sur les habitants du camp et les persécuter.
Le major Ahmed Khozair, aux ordres des services du premier ministre et qui a pris part aux massacres des Achrafiens en 2009, 2011 et 2013, est responsable de l’application de cette mesure répressive. A la suite de la tuerie du 1 septembre, il a été transféré au camp Liberty et depuis, les habitants connaissent chaque jour de nouvelles difficultés qu’il créées avec ses hommes à l’entrée de Liberty.
Causer des problèmes aux chauffeurs des camions citernes de vidange septique, retarder leur travail sans la moindre raison, les insulter, déchirer leurs cartes d’identité et les battre, sont des actes qu’Ahmed Khozair et ses hommes répètent chaque jour.
Ces nouvelles restrictions sur l’évacuation des eaux usées entrainent des débordements. Et comme ces citernes sont délabrées, le retard dans les vidanges fait que la pression à l’intérieur fend les parois et cause des fuites qui contaminent l’environnement. C’est pourquoi les habitants sont forcés de réduire leur consommation d’eau pour des raisons sanitaires, ce qui augmente à son tour des problèmes de santé et la multiplication de maladies dans le camp. Le gouvernement irakien empêche le remplacement de ces citernes délabrées par celles qui se trouvent à Achraf et qui sont en bon état ou neuves.
La Résistance iranienne attire l’attention du gouvernement américain et de l’ONU et de ses divers organes, spécialement l’OMS, sur ces mesures répressives qui enfreignent les normes humanitaires et menacent gravement la santé des habitants. Elle appelle à l’expulsion de Liberty de criminels comme Ahmed Khozair qui préparent à travers ces provocations le terrain à de prochaines attaques et de nouveaux massacres.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 1 février 2014
Ces nouvelles restrictions sur l’évacuation des eaux usées entrainent des débordements. Et comme ces citernes sont délabrées, le retard dans les vidanges fait que la pression à l’intérieur fend les parois et cause des fuites qui contaminent l’environnement. C’est pourquoi les habitants sont forcés de réduire leur consommation d’eau pour des raisons sanitaires, ce qui augmente à son tour des problèmes de santé et la multiplication de maladies dans le camp. Le gouvernement irakien empêche le remplacement de ces citernes délabrées par celles qui se trouvent à Achraf et qui sont en bon état ou neuves.
La Résistance iranienne attire l’attention du gouvernement américain et de l’ONU et de ses divers organes, spécialement l’OMS, sur ces mesures répressives qui enfreignent les normes humanitaires et menacent gravement la santé des habitants. Elle appelle à l’expulsion de Liberty de criminels comme Ahmed Khozair qui préparent à travers ces provocations le terrain à de prochaines attaques et de nouveaux massacres.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 1 février 2014
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