Deux enfants perdent leurs doigts de pieds sous le châtiment d’un enseignant de la milice
Le 6 février, deux enfants de 12 ans des environs de Kouhrang dans la province de Chahrmahal-o-Bakhtiari (sud-ouest de l’Iran) ont été punis par un milicien du Bassidj, et ont perdu leurs doigts de pieds, gelés par le froid.
Le 6 février, deux enfants de 12 ans des environs de Kouhrang dans la province de Chahrmahal-o-Bakhtiari (sud-ouest de l’Iran) ont été punis par un milicien du Bassidj, et ont perdu leurs doigts de pieds, gelés par le froid.
Le milicien cruel qui fait office d’instituteur dans ce village avait demandé aux enfants d’écrire une rédaction pour l’anniversaire de l’arrivée des mollahs au pouvoir et d’exprimer leur soutien à ce régime.
Deux écoliers qui n’avaient pas voulu ou n’avaient pas su écrire cette rédaction, ont été punis. Malgré leurs chaussures trouées, ils ont été forcés de balayer la neige de la cour. Cette tâche a duré trois heures et les deux enfants ont perdu plusieurs doigts de pieds qui avaient gelés.
Pour punir d’autres enfants, le milicien les a forcés à rester nus pieds dans le froid glacial sous la neige qui tombait afin de servir d’exemple aux autres.
Soheila Sadegh présidente de la commission de l’Education du CNRI, profondément indignée par la cruauté de ce milicien contre des enfants innocents, a déclaré : le fascisme religieux au pouvoir est une source de répression, de torture et d’exécutions et il n’épargne aucune génération. La jeunesse iranienne, de l’école primaire à l’université et dans la société, est livrée à la répression. La seule solution à toutes ces douleurs causées par les mollahs au pouvoir et de changer de régime en le renversant dans sa totalité.
Deux écoliers qui n’avaient pas voulu ou n’avaient pas su écrire cette rédaction, ont été punis. Malgré leurs chaussures trouées, ils ont été forcés de balayer la neige de la cour. Cette tâche a duré trois heures et les deux enfants ont perdu plusieurs doigts de pieds qui avaient gelés.
Pour punir d’autres enfants, le milicien les a forcés à rester nus pieds dans le froid glacial sous la neige qui tombait afin de servir d’exemple aux autres.
Soheila Sadegh présidente de la commission de l’Education du CNRI, profondément indignée par la cruauté de ce milicien contre des enfants innocents, a déclaré : le fascisme religieux au pouvoir est une source de répression, de torture et d’exécutions et il n’épargne aucune génération. La jeunesse iranienne, de l’école primaire à l’université et dans la société, est livrée à la répression. La seule solution à toutes ces douleurs causées par les mollahs au pouvoir et de changer de régime en le renversant dans sa totalité.
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