Le nombre des exécutions cette année atteint les 107
Le 5 février, le régime inhumain des mollahs a procédé en secret à une pendaison collective de 15 prisonniers politiques baloutches à la prison de Chahbahar. Parmi les condamnés figurent Khosro Barahoui, originaire de Loutak près de Zabol (sud-est de l’Iran), deux frères de la tribu Rigui, deux frères de la tribu Mir, et un marchand du nom d’Afzal Rigui.
Le 5 février, le régime inhumain des mollahs a procédé en secret à une pendaison collective de 15 prisonniers politiques baloutches à la prison de Chahbahar. Parmi les condamnés figurent Khosro Barahoui, originaire de Loutak près de Zabol (sud-est de l’Iran), deux frères de la tribu Rigui, deux frères de la tribu Mir, et un marchand du nom d’Afzal Rigui.
Selon des informations publiées, le jour précédent également, sept prisonniers avaient été secrètement enterrés dans des tombes anonymes dans une partie déserte du cimetière de Zahedan (sud-est).
A l’aube du 6 février, deux prisonniers du nom de Parviz Achna originaire de Bandar Abbas (sud) et Farhad Soltani originaire de Kermanchah (ouest) ont été exécutés dans la prison centrale de Bandar Abbas. Le 1 février, un homme de 29 ans avait été exécuté à Zahedan.
Ainsi, le nombre d’exécution depuis le début de l’année 2014 se monte à 107.
L’étendue de la vague d’exécution à de nombreuses villes, particulièrement dans les régions défavorisées, trahit la peur des mollahs vomis par le peuple de voir éclater une insurrection dans ces provinces où la population vit sous des pressions intolérables.
La Résistance iranienne appelle le Conseil de sécurité des Nations Unies, les USA, l’UE et les défenseurs des droits de l’homme dans le monde à recourir à une action urgente contre les exécutions arbitraires et collectives qui atteignent une ampleur sans précédent. La poursuite et le développement des relations économiques et diplomatiques avec ce régime, tout en fermant les yeux sur ses crimes inhumains, quel que soit le prétexte, ne font qu’encourager la poursuite et l’augmentation des exécutions de groupes et il faut y mettre fin.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 8 février 2014
A l’aube du 6 février, deux prisonniers du nom de Parviz Achna originaire de Bandar Abbas (sud) et Farhad Soltani originaire de Kermanchah (ouest) ont été exécutés dans la prison centrale de Bandar Abbas. Le 1 février, un homme de 29 ans avait été exécuté à Zahedan.
Ainsi, le nombre d’exécution depuis le début de l’année 2014 se monte à 107.
L’étendue de la vague d’exécution à de nombreuses villes, particulièrement dans les régions défavorisées, trahit la peur des mollahs vomis par le peuple de voir éclater une insurrection dans ces provinces où la population vit sous des pressions intolérables.
La Résistance iranienne appelle le Conseil de sécurité des Nations Unies, les USA, l’UE et les défenseurs des droits de l’homme dans le monde à recourir à une action urgente contre les exécutions arbitraires et collectives qui atteignent une ampleur sans précédent. La poursuite et le développement des relations économiques et diplomatiques avec ce régime, tout en fermant les yeux sur ses crimes inhumains, quel que soit le prétexte, ne font qu’encourager la poursuite et l’augmentation des exécutions de groupes et il faut y mettre fin.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 8 février 2014
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