Selon les informations parvenues de l’intérieur du régime en Iran, le pillage des biens des Moudjahidine du peuple à Achraf, qui a commencé dès le premier jour après le transfert du dernier groupe d’habitants le 12 septembre 2013, a pris de nouvelles dimensions ces deux dernières semaines.
D’après ces informations, le 15 février, des membres du comité chargé de la répression des Achrafiens au cabinet du premier ministre se sont rendus à Achraf. Ils ont brisé les portes de grands entrepôts et ont volé le contenu, notamment des cartons de chaussures, de chaussettes, de serviettes de bain, de gants et d’autres affaires.
Le 23 février, les hommes du comité de répression se sont à nouveau rendus dans les entrepôts d’Achraf et ont emporté de grandes quantités de vaisselles et de biens d’intérieurs. Durant cette période, des climatiseurs neufs, au transfert desquels à Liberty le gouvernement irakien s’était opposé, ont été volés.
Rappelons que dans le plan commun de la MANUI et de l’ambassade américaine à Bagdad en date du 5 septembre, pour le transfert du dernier groupe d’Achrafiens à Liberty, il était souligné que « le gouvernement irakien autorise les habitants à vendre leurs biens et le gouvernement irakien assurera et garantira la protection de ces biens. »
Le 6 septembre, Beth Jones, sous secrétaire d’Etat américaine pour le Proche-Orient, avait écrit à Maryam Radjavi, présidente élue de la résistance iranienne : « les Nations Unies contribueront à faciliter la sauvegarde des biens à Achraf par le biais d’une entreprise de sécurité local de confiance de votre choix. L'ambassade américaine fera tout son possible pour soutenir ces efforts. »
Mais le pouvoir irakien qui s’était préparé depuis quelques mois à s’emparer des biens des Achrafiens, non seulement n’a pas protégé ces biens, mais malgré les efforts des Achrafiens et de leurs représentants, ne les a même pas autorisés à engager une compagnie de sécurité locale. Et d’autre part, il n’a pas donné aux Achrafiens de vendre ne serait-ce qu’un dollar de leurs biens ou de transférer à Liberty ce dont ils ont besoin.
La Résistance iranienne attire une fois de plus l’attention du gouvernement américain et de l’ONU, qui se sont engagés à maintes reprises par écrit à assurer la protection des biens des Achrafiens, sur le pillage et la destruction systématique de ces biens par les forces irakiennes. Elle leur demande de fournir la possibilité au sénateur Torricelli, le représentant légal des Achrafiens, de procéder à leur vente.
Le 23 février, les hommes du comité de répression se sont à nouveau rendus dans les entrepôts d’Achraf et ont emporté de grandes quantités de vaisselles et de biens d’intérieurs. Durant cette période, des climatiseurs neufs, au transfert desquels à Liberty le gouvernement irakien s’était opposé, ont été volés.
Rappelons que dans le plan commun de la MANUI et de l’ambassade américaine à Bagdad en date du 5 septembre, pour le transfert du dernier groupe d’Achrafiens à Liberty, il était souligné que « le gouvernement irakien autorise les habitants à vendre leurs biens et le gouvernement irakien assurera et garantira la protection de ces biens. »
Le 6 septembre, Beth Jones, sous secrétaire d’Etat américaine pour le Proche-Orient, avait écrit à Maryam Radjavi, présidente élue de la résistance iranienne : « les Nations Unies contribueront à faciliter la sauvegarde des biens à Achraf par le biais d’une entreprise de sécurité local de confiance de votre choix. L'ambassade américaine fera tout son possible pour soutenir ces efforts. »
Mais le pouvoir irakien qui s’était préparé depuis quelques mois à s’emparer des biens des Achrafiens, non seulement n’a pas protégé ces biens, mais malgré les efforts des Achrafiens et de leurs représentants, ne les a même pas autorisés à engager une compagnie de sécurité locale. Et d’autre part, il n’a pas donné aux Achrafiens de vendre ne serait-ce qu’un dollar de leurs biens ou de transférer à Liberty ce dont ils ont besoin.
La Résistance iranienne attire une fois de plus l’attention du gouvernement américain et de l’ONU, qui se sont engagés à maintes reprises par écrit à assurer la protection des biens des Achrafiens, sur le pillage et la destruction systématique de ces biens par les forces irakiennes. Elle leur demande de fournir la possibilité au sénateur Torricelli, le représentant légal des Achrafiens, de procéder à leur vente.
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