Le 23 février, un prisonnier politique de la section350 de la prison d’Evine à Téhéran, Asdollah Hadi, s’est trouvé mal faisait un infarctus. Les autorités l’ont d’abord transféré à l’hôpital de cardiologie de Téhéran, mais malgré l’insistance des médecins de le garder en réanimation, les agents l’ont ramené en prison.
Asdollah avait d’abord été arrêté en 2009 et libérer provisoirement en échange d’une lourde caution. Il avait ensuite été jugé et condamné à 4 ans de réclusion pour “soutien à l’OMPI”.
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