CNRI – Le mollah Ebrahim Raïssi, numéro 2 de l’appareil judiciaire en Iran, a affirmé que « le rapporteur des droits humains de l’ONU a proféré de nombreux mensonges dans son rapport sur l’Iran. Il a mis en cause l’indépendance du pouvoir judiciaire en Iran. Ce rapporteur doit être traduit en justice. »
Ces propos ont été repris le 30 janvier par l’agence de presse officielle Fars.
Ebrahim Raïssi fait partie des responsables du massacre de 30.000 prisonniers politiques en 1988 en Iran. Ce mollah est actuellement une des personnes les plus influentes de l’appareil judiciaire.
Ces propos ont été repris le 30 janvier par l’agence de presse officielle Fars.
Ebrahim Raïssi fait partie des responsables du massacre de 30.000 prisonniers politiques en 1988 en Iran. Ce mollah est actuellement une des personnes les plus influentes de l’appareil judiciaire.
Dans le passé, Mohammad-Javad Laridjani, une autre figure du régime, avait dit qu’« Ahmed Shaheed, le rapporteur de l’ONU, est un malfrat » (agence Tasnim, lundi 27 janvier 2014).
Mohammad-Javad Laridjani - interviewé comme directeur du « Centre des droits de l’Homme» du régime des mollahs - avait ajouté : « Ceux qui se présentent aujourd’hui comme des ‘défenseurs des droits humains’ sont en relations avec des groupes terroristes et sont des imposteurs. La notion de ‘Défenseur des droits humains’ est une notion vague qui n’a été définie nulle part dans les textes fondateurs de l’ONU. »
Mohammad-Javad Laridjani - interviewé comme directeur du « Centre des droits de l’Homme» du régime des mollahs - avait ajouté : « Ceux qui se présentent aujourd’hui comme des ‘défenseurs des droits humains’ sont en relations avec des groupes terroristes et sont des imposteurs. La notion de ‘Défenseur des droits humains’ est une notion vague qui n’a été définie nulle part dans les textes fondateurs de l’ONU. »
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