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lundi 17 mars 2014

A la conférence de Maliki sur la lutte contre le terrorisme

                            
Le vice-ministre des Affaires étrangères du régime iranien prépare le terrain à de nouveaux massacres au camp Liberty
CNRI - Dans la mise en scène pitoyable de Maliki à Bagdad le 12 mars, intitulée « Conférence sur la lutte contre le terrorisme », se trouvait Morteza Sarmadi, vice-ministre des Affaires étrangères du régime iranien, parrain du terrorisme international, qui a profité de l'occasion pour préparer le terrain à de nouvelles attaques criminelles contre les membres de l'OMPI au camp Liberty.
Cette conférence du pouvoir irakien intervenait à un moment où la communauté internationale découvre chaque jour comment Maliki et son gouvernement sont eux-mêmes la source de nombreuses atrocités terroristes.
Le vice-ministre des Affaires étrangères du régime iranien a protesté contre l'enlèvement de l'organisation des Moudjahidine du peuple d'Iran de la liste terroriste et a dit : « La république islamique d'Iran est elle-même une victime du terrorisme qui a subi de grandes dommages dus au deux poids deux mesures de l’Occident et des pays de la région dans la lutte contre le terrorisme et l’aide apportée aux groupes terroristes qui s'opposent à la République islamique. »
Le diplomate-terroriste excédé et découragé par le soutien international croissant à la Résistance iranienne et aux habitants du camp Liberty, a déclaré : « L'aide évidente de l’Occident à l'OMPI, qui lui fournit un environnement sûr et une aide financière pour poursuivre ses activités sur le sol des pays occidentaux, montre clairement le manque de sincérité de ces gouvernements qui soutiennent la démocratie pour appeler à la lutte contre le terrorisme. »
Le vice-ministre des Affaires étrangères des mollahs a implicitement menacé l'OMPI d’opérations terroristes disant qu’elles seraient la conséquence de la politique de la résistance. L’OMPI « souligne la nécessité de protéger les siens », a-t-il ajouté, « mais en même temps elle insiste sur la poursuite de ses méthodes terroristes, un point qui lui crée des problèmes de sécurité. »
Ces déclarations ouvrent clairement la voie pour le régime des mollahs et son gouvernement vassal en Irak à un autre massacre au camp Liberty, d’autant plus que parallèlement à cette mascarade, le pouvoir irakien a fortement intensifié les mesures répressives et le siège inhumain contre camp Liberty.
Mettant en garde contre les intentions funestes du régime iranien et du gouvernement irakien et rappelant les engagements répétés et écrits de l’ONU et du gouvernement américain sur la sécurité des habitants de Liberty, la Résistance iranienne appelle à la mise en œuvre des quatre points suivants par les États-Unis et le Conseil de sécurité de l’ONU. Ces mesures essentielles ont été adressées aux responsables américains et aux Nations Unies le 4 mars par M. Struan Stevenson, président de la délégation pour les relations avec l'Irak du Parlement européen :
• Relocalisation de tous les habitants, même temporairement, aux États-Unis ou en Europe.
• Fournir des dispositions d'urgence en matière de sécurité au camp Liberty contre les attaques à la roquette, comme le retour des murs de protection en T, le transfert des abris, des casques et des gilets de protection ainsi que les équipements médicaux d'Achraf, l'autorisation de construire et l'extension de la zone du camp.
• La présence permanente d’observateurs de l'ONU avec une équipe de Casques bleus à l'intérieur du camp Liberty ;
• Une enquête de l’ONU sur le massacre du 1er septembre 2013 à Achraf.

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