Exécution d’une femme et de trois jeunes, mineurs lors de leur arrestation
Le régime misogyne des mollahs en Iran a pendu Farzaneh Moradi, une jeune femme de 25 ans après six années de réclusion, le 4 mars à la prison d’Ispahan. Cette peine de mort a soulevé de vastes protestations en Iran et à l’étranger et elle a été menée sans la connaissance de son avocat. Cette jeune femme, victime d’une bande de mollahs corrompus et réactionnaires, laisse derrière elle une petite orpheline. Lors de son exécution, Farzaneh était dans un état physique et mental critique et avait perdu son équilibre.
Le 3 mars également, un jeune de 23 ans, Mehrasse, a été pendu dans la prison de Jouybar. Il avait 17 ans lors de son arrestation. Un autre jeune de 23 ans, a été exécuté en secret dans la prison centrale de Zahedan le 1 mars. Il avait aussi été arrêté à l’âge de 17 ans.
Le 26 février, six prisonniers avaient été exécutés ensemble et en secret à la prison de Gohardacht, près de Téhéran. Un des condamnés, Reza Gandjlou, avait à peine 20 ans. Il avait été arrêté à l’âge de 16 ans.
De cette manière entre le 26 février et le 4 mars, trois condamnés, mineurs au moment de leur arrestation, ont été pendus.
Alors que les exécutions collectives et arbitraires prennent de l’ampleur, et que plus de 150 personnes ont été pendues en 2014, la complaisance avec ce régime cultivant l’illusion de modération, ne fait que l’encourager à massacrer et torturer davantage.
La visite de Catherine Ashton, haute représentante de l’Union européenne, à Téhéran en pleine vague d’exécutions, donne un blanc-seing à cette politique de répression sanglante. C’est la raison pour laquelle la Résistance iranienne demande à Mme Ashton d’annuler cette visite pour ne pas ajouter à la souffrance du peuple iranien.
Le 3 mars également, un jeune de 23 ans, Mehrasse, a été pendu dans la prison de Jouybar. Il avait 17 ans lors de son arrestation. Un autre jeune de 23 ans, a été exécuté en secret dans la prison centrale de Zahedan le 1 mars. Il avait aussi été arrêté à l’âge de 17 ans.
Le 26 février, six prisonniers avaient été exécutés ensemble et en secret à la prison de Gohardacht, près de Téhéran. Un des condamnés, Reza Gandjlou, avait à peine 20 ans. Il avait été arrêté à l’âge de 16 ans.
De cette manière entre le 26 février et le 4 mars, trois condamnés, mineurs au moment de leur arrestation, ont été pendus.
Alors que les exécutions collectives et arbitraires prennent de l’ampleur, et que plus de 150 personnes ont été pendues en 2014, la complaisance avec ce régime cultivant l’illusion de modération, ne fait que l’encourager à massacrer et torturer davantage.
La visite de Catherine Ashton, haute représentante de l’Union européenne, à Téhéran en pleine vague d’exécutions, donne un blanc-seing à cette politique de répression sanglante. C’est la raison pour laquelle la Résistance iranienne demande à Mme Ashton d’annuler cette visite pour ne pas ajouter à la souffrance du peuple iranien.
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