- Un pasteur incarcéré à la section 350 de la prison d’Evine de Téhéran a été hospitalisé le 20 avril, après avoir été passé à tabac par les gardiens de la Révolution (pasdaran). Les compagnons de cellule du pasteur Farchid Fathi ont confirmé le passage à tabac par les pasdaran.
Selon une dépêche du site Mohabat News, les médecins de l’hôpital ont diagnostiqué la fracture d’un orteil. Ils lui ont plâtré le pied, estimant qu’il devra être opéré dans quelques semaines.
Le 17 avril, un grand nombre des forces répressives du régime des mollahs a attaqué la section 350 de la prison d’Evine, tabassant sauvagement et insultant les prisonniers politiques. L'excuse avancée pour le raid était l’inspection des lieux.
La section 350 est celle des prisonniers politiques, notamment des détenus accusés d'appartenir à l'organisation des Moudjahidines du Peuple d'Iran (OMPI). Amnesty International a condamné le raid appelant à une action urgente le 17 avril.
Les assaillants étaient particulièrement focalisés sur les détenus affiliés à l'OMPI et ils les ont battus plus durement, en blessant plusieurs.
Les gardiens ont mis des prisonniers politiques au cachot, malgré leurs blessures et leurs besoins de soins. Aucune nouvelles n’a filtré à leur sujet.
Un groupe de parents de prisonniers politiques a rejoint les habitants de Téhéran rassemblés mardi devant le bureau d’Hassan Rouhani, président du régime iranien, pour protester contre l'attaque.
Les manifestants scandaient : « libérez les prisonniers politiques ». Ils ont également brandi des pancartes où l’on pouvait lire : « Nous l’avons vu de nos propres yeux, l'attaque n'était pas un mensonge, c'était une catastrophe ».
Maryam Radjavi, Présidente élue de la Résistance iranienne a fait l’éloge de la résistance et de la ténacité des prisonniers politiques. Elle a également salué la persévérance de leurs familles.
La Présidente élue de la Résistance iranienne a de nouveau réaffirmé la nécessité d'une enquête internationale indépendante sur cette attaque.
La section 350 est celle des prisonniers politiques, notamment des détenus accusés d'appartenir à l'organisation des Moudjahidines du Peuple d'Iran (OMPI). Amnesty International a condamné le raid appelant à une action urgente le 17 avril.
Les assaillants étaient particulièrement focalisés sur les détenus affiliés à l'OMPI et ils les ont battus plus durement, en blessant plusieurs.
Les gardiens ont mis des prisonniers politiques au cachot, malgré leurs blessures et leurs besoins de soins. Aucune nouvelles n’a filtré à leur sujet.
Un groupe de parents de prisonniers politiques a rejoint les habitants de Téhéran rassemblés mardi devant le bureau d’Hassan Rouhani, président du régime iranien, pour protester contre l'attaque.
Les manifestants scandaient : « libérez les prisonniers politiques ». Ils ont également brandi des pancartes où l’on pouvait lire : « Nous l’avons vu de nos propres yeux, l'attaque n'était pas un mensonge, c'était une catastrophe ».
Maryam Radjavi, Présidente élue de la Résistance iranienne a fait l’éloge de la résistance et de la ténacité des prisonniers politiques. Elle a également salué la persévérance de leurs familles.
La Présidente élue de la Résistance iranienne a de nouveau réaffirmé la nécessité d'une enquête internationale indépendante sur cette attaque.
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