L'élection de la dictature iranienne à la commission des organisations non-gouvernementales des Nations unies, est un mépris des principes fondamentaux des Nations unies et porte atteinte aux valeurs des droits de l'homme et à l'éthique.
Dorénavant, le régime et d'autres pourfendeurs des droits humains n'hésiteront pas à utiliser ce dispositif pour combattre les ONG indépendantes et les voix libres. Ce sera également une occasion pour le régime de faire inscrire ses groupes d'espions et de terroristes comme des ONG avec statut consultatif auprès des Nations unies.
L'élection du régime des mollahs à cette commission a été rendue possible grâce à des alliances malsaines avec d'autres violateurs des droits en Asie et en profitant de l'inertie des pays occidentaux soucieux de ménager le régime pendant les négociations sur le nucléaire.
Cette décision porte sérieusement atteinte à la crédibilité et à l'efficacité des Nations unies. Elle intervient alors que l'Assemblée générale et les autres organes onusiennes ont adopté plus de 60 résolutions condamnant les violations systématiques des droits et libertés en Iran. Elle arrive également au moment où les prisons iraniennes viennent d'être la cible de raids sauvages sur les prisonniers politiques, sous prétexte qu'ils ont communiqué avec le Rapporteur spécial des Nations unies sur les droits de l'homme en Iran. Nombres d'entre eux ont été blessés et plusieurs envoyés en isolement, suscitant une vive indignation internationale.
Parallèlement, les exécutions collectives de jeunes continuent implacablement en Iran et depuis qu'Hassan Rohani a été élu à la présidence du régime, plus de 700 personnes ont été exécutées et les châtiments corporels cruels, tels que les amputations, l'arrachage des yeux et des oreilles n'ont pas cessé.
Pour avoir violé en permanence les conventions internationaux et les chartes relatives aux droits humains au cours des 35 dernières années, et en raison de l'implication de ses dirigeants dans de multiples crimes contre l'humanité, ce régime doit être banni du banc des nations et son dossier renvoyé devant le Conseil de sécurité des Nations unies et la Cour pénale internationale.
L'élection du régime des mollahs à cette commission a été rendue possible grâce à des alliances malsaines avec d'autres violateurs des droits en Asie et en profitant de l'inertie des pays occidentaux soucieux de ménager le régime pendant les négociations sur le nucléaire.
Cette décision porte sérieusement atteinte à la crédibilité et à l'efficacité des Nations unies. Elle intervient alors que l'Assemblée générale et les autres organes onusiennes ont adopté plus de 60 résolutions condamnant les violations systématiques des droits et libertés en Iran. Elle arrive également au moment où les prisons iraniennes viennent d'être la cible de raids sauvages sur les prisonniers politiques, sous prétexte qu'ils ont communiqué avec le Rapporteur spécial des Nations unies sur les droits de l'homme en Iran. Nombres d'entre eux ont été blessés et plusieurs envoyés en isolement, suscitant une vive indignation internationale.
Parallèlement, les exécutions collectives de jeunes continuent implacablement en Iran et depuis qu'Hassan Rohani a été élu à la présidence du régime, plus de 700 personnes ont été exécutées et les châtiments corporels cruels, tels que les amputations, l'arrachage des yeux et des oreilles n'ont pas cessé.
Pour avoir violé en permanence les conventions internationaux et les chartes relatives aux droits humains au cours des 35 dernières années, et en raison de l'implication de ses dirigeants dans de multiples crimes contre l'humanité, ce régime doit être banni du banc des nations et son dossier renvoyé devant le Conseil de sécurité des Nations unies et la Cour pénale internationale.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire