Seul 40% des postulants à un doctorat universitaire en Iran, sont des femmes, selon un reportage diffusé sur Radio Zamaneh. 2009 a connu une poussée des femmes qui poursuivaient leurs études après la maitrise, pour s’étendre en 2012 au doctorat.
Au début de la présidence d’Ahmadinejad en 2005, les femmes dans les universités atteignait 60 % des étudiants. Cependant, le ministère de l’Éducation a réagi en lançant des programmes restrictifs comme des quotas et les discriminations sexuelles. Les mesures contre les femmes dans le domaine de l’éducation comprennent la mise en place de plans de discrimination sexuelle, l’interdiction des filles dans diverses matières techniques et de génie comme « les mines et le pétrole », ou l’élimination des matières considérées comme « féminines », et un très faible quota à la tête ou au sein de délégations scientifiques.
Sur la base des chiffres officiels publiés par l’Organisation de l’évaluation de l’Éducation, seule 17% des candidates à une maitrise peuvent ensuite postuler à une bonne université. On peut comparer ce chiffre avec les 60% de présence de fille à l’examen d’entrée à l’université où la politique de discrimination fait que les filles ont une chance décroissante d’entrer dans de bonnes universités. Les statistiques de 2011 montrent que les femmes constituent 44% des inscriptions dans les instituts privés et 41 % dans les universités publiques. La même année, les femmes constituaient 44 % des inscriptions dans les cours universitaires, 46% en maitrise et 42% en doctorat.
Le manqué de liberté des femmes à poursuivre leurs études est une des causes de ces chiffres. Sur la base de ces statistiques, les femmes forment actuellement près de 20 % des ‘délégations scientifiques à plein temps’ dans les universités publiques, 23% de toutes les ‘délégations scientifiques’ et 24% de ‘toutes les délégations gouvernementales et non gouvernementales’. Dans des provinces comme Qom et Kohkilouyeh-Boyer Ahmad, le quota de femmes dans ces délégations descend sous les 15 %. Dans les douze provinces déshéritées du pays, le quota est de moins de 20%.
Ces dernières années, non seulement aucun effort n’a été fait pour accroitre la présence des femmes dans les délégations scientifiques des universités, mais d’autres mesures comme la ségrégation et les restrictions à l’entrée des filles à l’université ont été appliquées, réduisant leur participation dans les délégations scientifiques.
Sur la base des chiffres officiels publiés par l’Organisation de l’évaluation de l’Éducation, seule 17% des candidates à une maitrise peuvent ensuite postuler à une bonne université. On peut comparer ce chiffre avec les 60% de présence de fille à l’examen d’entrée à l’université où la politique de discrimination fait que les filles ont une chance décroissante d’entrer dans de bonnes universités. Les statistiques de 2011 montrent que les femmes constituent 44% des inscriptions dans les instituts privés et 41 % dans les universités publiques. La même année, les femmes constituaient 44 % des inscriptions dans les cours universitaires, 46% en maitrise et 42% en doctorat.
Le manqué de liberté des femmes à poursuivre leurs études est une des causes de ces chiffres. Sur la base de ces statistiques, les femmes forment actuellement près de 20 % des ‘délégations scientifiques à plein temps’ dans les universités publiques, 23% de toutes les ‘délégations scientifiques’ et 24% de ‘toutes les délégations gouvernementales et non gouvernementales’. Dans des provinces comme Qom et Kohkilouyeh-Boyer Ahmad, le quota de femmes dans ces délégations descend sous les 15 %. Dans les douze provinces déshéritées du pays, le quota est de moins de 20%.
Ces dernières années, non seulement aucun effort n’a été fait pour accroitre la présence des femmes dans les délégations scientifiques des universités, mais d’autres mesures comme la ségrégation et les restrictions à l’entrée des filles à l’université ont été appliquées, réduisant leur participation dans les délégations scientifiques.
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