Communiqué du CNRI - Selon l’agence Fars des gardiens de la révolution, le 18 mai, dix condamnés ont été pendus ensemble à la prison de Kerman, dans le sud-est de l’Iran.
Le 17 mai, quatre prisonniers ont été pendus à Qazvine (nord-ouest), mais l’agence Mehr du ministère du Renseignement n’en annonce que trois. Le même jour, deux autres détenus ont été pendus dans la prison centrale de Zahedan (sud-est de l’Iran).
Selon le quotidien officiel Ressalat, du 15 mai, un prisonnier a été exécuté dans la ville de Garmsar (nord-est).
Le 14 mai, quatre détenus ont été pendus dans la prison d’Oroumieh (nord-ouest). Un jour avant, Majid Jalili Ayan, 37 ans, originaire de Salmas, avait été pendu dans la même prison.
Par ailleurs, le 12 mai, dans un affrontement avec des détenus, des gardiens de la prison centrale de Chahrekord (ouest) ont abattu à bout portant deux prisonniers.
De plus le 17 mai, une peine cruelle de 90 coups de fouet a été appliqué en public contre un détenu kurde dans la ville de Takab en présence des autorités judiciaire criminelles du régime. Le même jour, deux autres prisonniers étaient fouettés à la prison de Qazvine. Le mollah Sadeghi, procureur général de la ville de Qazvine, a réitéré la poursuite des « châtiment sévères sans pitié pour les délinquants. »
Ainsi le nombre des exécutions enregistrées depuis le 21 avril atteint les 103. Ignorer tous ces crimes sous prétexte de négociations nucléaires n’a rien donné et a encouragé les criminels au pouvoir en Ira. La seule manière de stopper ce cycle de tueries en Iran est de porter ces violations effroyables devant le Conseil de sécurité de l’ONU et de traduire les dirigeants du régime en Justice.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 19 mai 2014
Selon le quotidien officiel Ressalat, du 15 mai, un prisonnier a été exécuté dans la ville de Garmsar (nord-est).
Le 14 mai, quatre détenus ont été pendus dans la prison d’Oroumieh (nord-ouest). Un jour avant, Majid Jalili Ayan, 37 ans, originaire de Salmas, avait été pendu dans la même prison.
Par ailleurs, le 12 mai, dans un affrontement avec des détenus, des gardiens de la prison centrale de Chahrekord (ouest) ont abattu à bout portant deux prisonniers.
De plus le 17 mai, une peine cruelle de 90 coups de fouet a été appliqué en public contre un détenu kurde dans la ville de Takab en présence des autorités judiciaire criminelles du régime. Le même jour, deux autres prisonniers étaient fouettés à la prison de Qazvine. Le mollah Sadeghi, procureur général de la ville de Qazvine, a réitéré la poursuite des « châtiment sévères sans pitié pour les délinquants. »
Ainsi le nombre des exécutions enregistrées depuis le 21 avril atteint les 103. Ignorer tous ces crimes sous prétexte de négociations nucléaires n’a rien donné et a encouragé les criminels au pouvoir en Ira. La seule manière de stopper ce cycle de tueries en Iran est de porter ces violations effroyables devant le Conseil de sécurité de l’ONU et de traduire les dirigeants du régime en Justice.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 19 mai 2014
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