La cour fédérale d'Argentine a déclaré inconstitutionnel un protocole d'accord entre le gouvernement argentin et le régime iranien, ordonnant la poursuite de l'enquête sur l'attentat contre le centre culturel juif à Buenos Aires en 1994.
La cour a également réitéré l'ordre d'extradition de responsables iraniens et a demandé à Interpol de réexaminer un mandat d'arrêt pour les suspects.
La cour a également réitéré l'ordre d'extradition de responsables iraniens et a demandé à Interpol de réexaminer un mandat d'arrêt pour les suspects.
L'an dernier, le procureur argentin Alberto Nisman avait demandé aux juges de déclarer inconstitutionnel un accord entre le gouvernement argentin et le régime iranien. Dans le supplément des chefs d'accusation présentée par Nisman, le procureur a réitéré les mandats d'arrêt pour sept dirigeants iraniens pour leur implication dans l'attentat terroriste: Ali Akbar Hashemi Rafsanjani, ancien président, Ali Akbar Velayati, ancien MAE, Mohsen Rezaii, ancien commandant des Pasdaran, Ahmad Vahidi, ancien commandant de la Force terroriste Qods, Mohsen Rabbani, l'envoyé culturel de l'époque, et Ahmadreza Asghari, le troisième secrétaire de l'ambassade.
Hassan Rohani, l'actuel président du régime, a également fait parti du comité spécial qui a décidé de l'attentat de Buenos Aires, selon le procureur argentin.
Dans le supplément de chefs d'accusation, ainsi que dans l'original présenté au tribunal en 2006, le procureur spécial s'est référé aux interviews et aux communiqués de presse du CNRI et de l'OMPI qui ont divulgué des détails précis sur le rôle du régime dans ce crime. Le 10 août 1994, trois semaines après l'attentat, dans une conférence de presse à Washington, la Résistance iranienne a révélé que l'attentat de Buenos Aires avait été cautionné par le Conseil suprême de la Sécurité nationale des mollahs.
Hassan Rohani, l'actuel président du régime, a également fait parti du comité spécial qui a décidé de l'attentat de Buenos Aires, selon le procureur argentin.
Dans le supplément de chefs d'accusation, ainsi que dans l'original présenté au tribunal en 2006, le procureur spécial s'est référé aux interviews et aux communiqués de presse du CNRI et de l'OMPI qui ont divulgué des détails précis sur le rôle du régime dans ce crime. Le 10 août 1994, trois semaines après l'attentat, dans une conférence de presse à Washington, la Résistance iranienne a révélé que l'attentat de Buenos Aires avait été cautionné par le Conseil suprême de la Sécurité nationale des mollahs.
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