A la suite du récent raid sauvage des agents du régime iranien contre les prisonniers de la section 350 de la prison d’Evin, « Afkar News », un site Internet lié au régime, a appelé à la répression la plus impitoyable des prisonniers politiques en Iran.
Ce site a écrit : « L’incident de la section 350 et sa large couverture par les médias anti- révolutionnaires nous a incité à étudier et apprendre davantage au sujet de certains de ces prisonniers et leur fidélité à l’égard de l’Organisation des Moudjahidine du Peuple d’Iran (OMPI). »
« Afkar News » a ajouté :
« L’un de ces prisonniers s’appelle Gholamreza Khosravi et il est né en 1961 dans la ville d’Abadan. Il a été arrêté pour la première fois en août 1981 à cause de ses activités en relation avec le groupuscule des Monaféghine [terme péjoratif utilisé par le régime pour désigner l’OMPI]) et à l’époque, il a été condamné à six ans de prison. »
« Après sa libération, non seulement il n’a montré aucun remord, mais il a continué ses activités en faveur de ce groupuscule. En 2007, il a été de nouveau arrêté, cette fois-ci à Rafsandjan. Il a été accusé d’espionnage et d’aide financière à l’OMPI et ensuite il a été envoyé en prison. Dans ses aveux, Khosravi montre sa haine à l’égard de la République islamique l’Iran, il reconnaît ses liens avec ce groupuscule terroriste et se vante de son hostilité envers l’Etat. Dans l’ensemble, il se présente comme un soutien sans réserve de l’OMPI. »
« La question à laquelle nous continuons à réfléchir est la suivante : pourquoi malgré les relations évidentes de ces personnes avec l’OMPI et la preuve de leurs activités contre la sécurité nationale, les forces judiciaires sont aussi indulgents envers eux ? »
« Ces personnes sont les pions de groupes terroristes, leurs actions contre la sécurité nationale ont été prouvées de façon catégorique, ils n’ont montré aucun remord en prison et ils ont même poursuivi leurs activités d’espionnage. Alors, quel verdict doit-on émettre contre ces personnes? »
Gholamreza Khosravi est l’un de ces prisonniers qui a été battu dans la section 350 lors du raid du 17 avril et il a été ensuite placé en isolement. Il est actuellement en grève de la faim et son état de santé est très préoccupant.
Le lundi 28 avril, les autorités de la prison ont fait attendre l’épouse de M. Khosravi pendant plusieurs heures devant la prison, mais finalement ne l’ont pas autorisée à voir son mari. M. Khosravi et neuf autres prisonniers politiques sont actuellement placés en isolement et sont privé de parloir.
Selon l’un des membres de la famille de Gholamreza Khosravi, il a été blessé au visage et à la tête et il souffre de problèmes auditifs. A cause de violent coups de matraque qu’il a reçu sur son corps, notamment sur la poitrine, il est gravement blessé et affaibli.
M. Khosravi a fait partie des prisonniers politiques dans les années 1980. Il a été de nouveau arrêté en 2007. Accusé d’avoir des liens avec l’OMPI, il a été condamné à trois ans de travaux forcés en prison, plus trois autres années de prison avec sursis. Néanmoins, alors qu’il purgeait sa peine de prison, une autre accusation a été portée contre lui et il a été condamné à mort pour « Moharebeh » (« hostilité envers le Dieu »).
« Afkar News » a ajouté :
« L’un de ces prisonniers s’appelle Gholamreza Khosravi et il est né en 1961 dans la ville d’Abadan. Il a été arrêté pour la première fois en août 1981 à cause de ses activités en relation avec le groupuscule des Monaféghine [terme péjoratif utilisé par le régime pour désigner l’OMPI]) et à l’époque, il a été condamné à six ans de prison. »
« Après sa libération, non seulement il n’a montré aucun remord, mais il a continué ses activités en faveur de ce groupuscule. En 2007, il a été de nouveau arrêté, cette fois-ci à Rafsandjan. Il a été accusé d’espionnage et d’aide financière à l’OMPI et ensuite il a été envoyé en prison. Dans ses aveux, Khosravi montre sa haine à l’égard de la République islamique l’Iran, il reconnaît ses liens avec ce groupuscule terroriste et se vante de son hostilité envers l’Etat. Dans l’ensemble, il se présente comme un soutien sans réserve de l’OMPI. »
« La question à laquelle nous continuons à réfléchir est la suivante : pourquoi malgré les relations évidentes de ces personnes avec l’OMPI et la preuve de leurs activités contre la sécurité nationale, les forces judiciaires sont aussi indulgents envers eux ? »
« Ces personnes sont les pions de groupes terroristes, leurs actions contre la sécurité nationale ont été prouvées de façon catégorique, ils n’ont montré aucun remord en prison et ils ont même poursuivi leurs activités d’espionnage. Alors, quel verdict doit-on émettre contre ces personnes? »
Gholamreza Khosravi est l’un de ces prisonniers qui a été battu dans la section 350 lors du raid du 17 avril et il a été ensuite placé en isolement. Il est actuellement en grève de la faim et son état de santé est très préoccupant.
Le lundi 28 avril, les autorités de la prison ont fait attendre l’épouse de M. Khosravi pendant plusieurs heures devant la prison, mais finalement ne l’ont pas autorisée à voir son mari. M. Khosravi et neuf autres prisonniers politiques sont actuellement placés en isolement et sont privé de parloir.
Selon l’un des membres de la famille de Gholamreza Khosravi, il a été blessé au visage et à la tête et il souffre de problèmes auditifs. A cause de violent coups de matraque qu’il a reçu sur son corps, notamment sur la poitrine, il est gravement blessé et affaibli.
M. Khosravi a fait partie des prisonniers politiques dans les années 1980. Il a été de nouveau arrêté en 2007. Accusé d’avoir des liens avec l’OMPI, il a été condamné à trois ans de travaux forcés en prison, plus trois autres années de prison avec sursis. Néanmoins, alors qu’il purgeait sa peine de prison, une autre accusation a été portée contre lui et il a été condamné à mort pour « Moharebeh » (« hostilité envers le Dieu »).
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