Le journal Keyhan, proche du guide suprême du régime des mollahs, a écrit dans son éditorial daté du dimanche 18 mai : « Heureusement, les négociations nucléaires à Vienne entre l’Iran et les six puissances mondiales ont échouées ».
Cet éditorial est écrit par Hossein Chariatmadari, le directeur de Keyhan et le plus important conseiller d’Ali Khamenei.
Keyhan a écrit : « Alors que les Américains et leurs alliés étaient très enchantés par l’accord de novembre 2013, cette fois-ci, nos négociateurs nucléaires sont partis à Vienne avec un document précisant les lignes rouges et les points non négociables. »
Selon Keyhan, les lignes rouges tracés pour les négociateurs du régime iranien ont été les suivantes :
1) Le droit de l’Iran à continuer ses activités de R&D dans le domaine nucléaire est non négociable.
2) Toutes les sanctions doivent être levées immédiatement et non pas de façon progressive.
3) Le niveau d’enrichissement de l’uranium sera déterminé selon les besoins de l’Iran et non pas selon la convenance des puissances mondiales.
4) Les activités du réacteur à eau lourde d’Arak ne seront pas modifiées.
5) Personne n’aura le droit d’inspecter les sites militaires de l’Iran.
1) Le droit de l’Iran à continuer ses activités de R&D dans le domaine nucléaire est non négociable.
2) Toutes les sanctions doivent être levées immédiatement et non pas de façon progressive.
3) Le niveau d’enrichissement de l’uranium sera déterminé selon les besoins de l’Iran et non pas selon la convenance des puissances mondiales.
4) Les activités du réacteur à eau lourde d’Arak ne seront pas modifiées.
5) Personne n’aura le droit d’inspecter les sites militaires de l’Iran.
Keyhan a révélé qu’à Vienne, quand les négociateurs iraniens ont présenté ces lignes rouges, « les diplomates occidentaux ont été d’abord choqués, puis ils ont été très en colère, à tel point qu’il y a eu entre les deux parties plusieurs altercations verbales ».
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