A l'occasion de la Journée internationale de la "liberté de la presse", le 30 avril, le Comité de protection des journalistes (CPJ), basé à New York, a révélé qu'en 2013 plus de la moitié des journalistes emprisonnés dans le monde, l'ont été en Iran, en Turquie et en Chine.
Dans son rapport annuel pour 2013, il a répertorié 211 journalistes emprisonnés pour avoir accompli leur profession. Selon le comité international, l'année 2013 a été l'une des pires en termes du nombre de journalistes écroués.
CNRI - En Iran 35 journalistes ont été emprisonnés en 2013 et le comité rappelle que malgré l'élection d'Hassan Rohani, les autorités ont continué à arrêter et condamner les journalistes à de longs peines de prison.
La Turquie, l'Iran et la Chine, détiennent respectivement les trois premières places du nombre de journalistes emprisonnés, qui sont accusés de "complot", "propagande" et "trouble l'ordre publique".
CNRI - En Iran 35 journalistes ont été emprisonnés en 2013 et le comité rappelle que malgré l'élection d'Hassan Rohani, les autorités ont continué à arrêter et condamner les journalistes à de longs peines de prison.
La Turquie, l'Iran et la Chine, détiennent respectivement les trois premières places du nombre de journalistes emprisonnés, qui sont accusés de "complot", "propagande" et "trouble l'ordre publique".
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