Le régime inhumain en Iran a exécuté deux prisonniers politiques sunnites Ali Che Bechat et Seyed Khaled Moussavi, deux membres de la minorité arabe d’Ahwaz.
Les agents du renseignement en ont informé les familles le 12 juin et leur ont interdit de tenir une cérémonie funèbre.
Ces deux prisonniers politiques avaient été soudain transférés de la prison de Fajr, située à Dezfoul (sud ouest de l’Iran), vers un lieu inconnu. Le suivi des familles et de leurs avocats pour connaitre leur état et pouvoir leur rendre visite, n’avait mené à rien.
Soumis à la torture pour obtenir de faux aveux, ils avaient été condamnés à mort, accusés « d’atteinte à la sécurité nationale et de Moharebeh (guerre contre Dieu) ».
Dans un cas similaire en janvier 2014, le régime des mollahs avait exécuté en secret deux autres prisonniers politiques Hachem Chabani et Hadi Rachedi, deux Iraniens de la minorité arabe originaires de Ramchir.
La Résistance iranienne adresse ses condoléances aux familles et aux amis de ces deux prisonniers politiques et à la population de la province du Khouzistan. Elle appelle la population et surtout la jeunesse courageuse et digne du Khouzistan à se soulever en solidarité et sympathie avec les familles des martyrs.
La Résistance iranienne appelle une fois de plus à une action internationale urgente contre les exécutions politiques en Iran et au renvoi devant le Conseil de sécurité de l’ONU du bilan des violations des droits humains de la dictature religieuse en Iran. Le silence et l’inaction, quel qu’en soit le prétexte, face à la vague d’exécutions qui atteint une ampleur sans précédent depuis l’arrivée de Rohani à la présidence, ne font qu’encourager ce régime inhumain à poursuivre et intensifier ses crimes.
Ces deux prisonniers politiques avaient été soudain transférés de la prison de Fajr, située à Dezfoul (sud ouest de l’Iran), vers un lieu inconnu. Le suivi des familles et de leurs avocats pour connaitre leur état et pouvoir leur rendre visite, n’avait mené à rien.
Soumis à la torture pour obtenir de faux aveux, ils avaient été condamnés à mort, accusés « d’atteinte à la sécurité nationale et de Moharebeh (guerre contre Dieu) ».
Dans un cas similaire en janvier 2014, le régime des mollahs avait exécuté en secret deux autres prisonniers politiques Hachem Chabani et Hadi Rachedi, deux Iraniens de la minorité arabe originaires de Ramchir.
La Résistance iranienne adresse ses condoléances aux familles et aux amis de ces deux prisonniers politiques et à la population de la province du Khouzistan. Elle appelle la population et surtout la jeunesse courageuse et digne du Khouzistan à se soulever en solidarité et sympathie avec les familles des martyrs.
La Résistance iranienne appelle une fois de plus à une action internationale urgente contre les exécutions politiques en Iran et au renvoi devant le Conseil de sécurité de l’ONU du bilan des violations des droits humains de la dictature religieuse en Iran. Le silence et l’inaction, quel qu’en soit le prétexte, face à la vague d’exécutions qui atteint une ampleur sans précédent depuis l’arrivée de Rohani à la présidence, ne font qu’encourager ce régime inhumain à poursuivre et intensifier ses crimes.
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