Saba Azar-Peyk, journaliste à Téhéran, a été arrêtée par les pasdaran le mercredi 28 mai. Depuis presque deux semaines, personne ne sait où elle est détenue et pour quel motif elle a été arrêtée. 147 journalistes iraniens ont écrit une lettre dans laquelle ils ont réclamé aux autorités judiciaires des éclaircissements sur la situation de Mme Saba Azar-Peyk.
Ces journalistes ont notamment affirmé dans leur lettre : « L’arrestation d’une journaliste qui exerçait son métier d’informer est contraire aux lois iraniennes et aux traités et convections internationales dont l’Iran est signataire. En particulier, cette arrestation va à l’encontre des articles 11, 12 et 19 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme de l’ONU et de l’article 9 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques. »
Les signataires de cette lettre ont souligné que la famille de Saba Azar-Peyk est sans aucune nouvelle d’elle. « Nous demandons la libération de Saba Azar-Peyk et que tous ses droits soient respectés. Nous demandons que sa famille soit informée sur son lieu de détention et sur son état de santé. Nous attendons que le ministre des renseignements et les responsables gouvernementaux chargés des relations avec la presse œuvrent pour la libération de Mme Azar-Peyk, informent sa famille et fasse en sorte que les droits de cette journaliste emprisonnée soient respectés, » ont-ils insisté.
Le mollah Mohseni-Ejei, le procureur général du régime, a affirmé le lundi 9 juin : « Ce n’est pas possible que la famille de cette journaliste soit informée sur son lieu de détention. »
Les signataires de cette lettre ont souligné que la famille de Saba Azar-Peyk est sans aucune nouvelle d’elle. « Nous demandons la libération de Saba Azar-Peyk et que tous ses droits soient respectés. Nous demandons que sa famille soit informée sur son lieu de détention et sur son état de santé. Nous attendons que le ministre des renseignements et les responsables gouvernementaux chargés des relations avec la presse œuvrent pour la libération de Mme Azar-Peyk, informent sa famille et fasse en sorte que les droits de cette journaliste emprisonnée soient respectés, » ont-ils insisté.
Le mollah Mohseni-Ejei, le procureur général du régime, a affirmé le lundi 9 juin : « Ce n’est pas possible que la famille de cette journaliste soit informée sur son lieu de détention. »
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