Maryam Radjavi : Les mollahs cherchent en vain à sauver leur régime du renversement en exécutant à Achraf, à Evine et Gohardacht
CNRI - Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne, a adressé ses condoléances à la famille et aux proches de Gholam-Reza Khosravi Savadjani exécuté après 12 années de prison et de torture, ainsi qu’à l’ensemble des Moudjahidine du peuple et des membres de la grande famille de la Résistance iranienne, aux prisonniers politiques et à l’ensemble du peuple d’Iran.
CNRI - Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne, a adressé ses condoléances à la famille et aux proches de Gholam-Reza Khosravi Savadjani exécuté après 12 années de prison et de torture, ainsi qu’à l’ensemble des Moudjahidine du peuple et des membres de la grande famille de la Résistance iranienne, aux prisonniers politiques et à l’ensemble du peuple d’Iran.
A ses yeux, la détermination de ce Moudjahidine du peuple tenace et persévérant traduit la volonté des Iraniens de renverser le fascisme religieux au pouvoir et d’instaurer la démocratie et la souveraineté populaire en Iran.
Les bourreaux de Khamenei, a-t-elle déclaré, après avoir lancé un raid sauvage sur les détenus politique de la section 350 d’Evine, avait décidé d’appliquer cette peine criminelle. Ils considéraient que Gholam-Reza Khosravi était le principal instigateur des protestations et de la révolte des prisonniers de la section 350 en avril dernier.
L’exécution de Gholam-Reza Khosravi, a-t-elle ajouté, reflète ce qu’est la « modération » du régime des mollahs qui cherche en vain à maintenir en place ce régime aux abois en exécutant et en tuant les Moudjahidine du peuple à Achraf et Liberty, à Evine et Gohardacht, et dans les autres prisons. Mais ces crimes contre l’humanité avivent la flamme de la résistance du peuple iranien et accélère le renversement des mollahs.
Amnesty International a publié dans la soirée du 31 mai un communiqué qualifiant la condamnation à mort de Gholam-Reza Khosravi de violation du « droit international » et même d’infraction à la propre législation du régime. Dans son communiqué de ce matin, l’appareil judiciaire du régime précise que les charges pesant contre lui étaient « moharebeh (guerre contre Dieu) par le biais d’efforts actifs pour faire avancer les objectifs de l’Ompi », en propageant des informations « via les médias affiliés à l’Ompi », en « apportant une aide financière », et en connectant « des personnes à l’Ompi ».
La montée des exécutions en Iran viennent prouver qu’aucune négociation ni aucun échange avec ce régime ne doit éclipser les droits humains. Il est plus que jamais nécessaire d’adopter des mesures efficaces internationales pour mettre fin aux exécutions et pour boycotter totalement ce régime illégitime qui n’a aucun respect pour la dignité humaine ni les règles et lois internationales.
Mme Maryam Radjavi a souligné la nécessité de traduire en justice les dirigeants de la dictature religieuse qui voient la survie de leur régime illégitime dans la répression, la torture et les exécutions. Sous quelque prétexte que soit, a-t-elle ajouté, le silence face à la montée des exécutions sous le mandat de Rohani, qui atteignent une ampleur sans précédent, viole les valeurs universelles dans lesquelles croient l’ensemble des membres de l’ONU et dont le Conseil de sécurité est le gardien.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 1er juin 2014
Les bourreaux de Khamenei, a-t-elle déclaré, après avoir lancé un raid sauvage sur les détenus politique de la section 350 d’Evine, avait décidé d’appliquer cette peine criminelle. Ils considéraient que Gholam-Reza Khosravi était le principal instigateur des protestations et de la révolte des prisonniers de la section 350 en avril dernier.
L’exécution de Gholam-Reza Khosravi, a-t-elle ajouté, reflète ce qu’est la « modération » du régime des mollahs qui cherche en vain à maintenir en place ce régime aux abois en exécutant et en tuant les Moudjahidine du peuple à Achraf et Liberty, à Evine et Gohardacht, et dans les autres prisons. Mais ces crimes contre l’humanité avivent la flamme de la résistance du peuple iranien et accélère le renversement des mollahs.
Amnesty International a publié dans la soirée du 31 mai un communiqué qualifiant la condamnation à mort de Gholam-Reza Khosravi de violation du « droit international » et même d’infraction à la propre législation du régime. Dans son communiqué de ce matin, l’appareil judiciaire du régime précise que les charges pesant contre lui étaient « moharebeh (guerre contre Dieu) par le biais d’efforts actifs pour faire avancer les objectifs de l’Ompi », en propageant des informations « via les médias affiliés à l’Ompi », en « apportant une aide financière », et en connectant « des personnes à l’Ompi ».
La montée des exécutions en Iran viennent prouver qu’aucune négociation ni aucun échange avec ce régime ne doit éclipser les droits humains. Il est plus que jamais nécessaire d’adopter des mesures efficaces internationales pour mettre fin aux exécutions et pour boycotter totalement ce régime illégitime qui n’a aucun respect pour la dignité humaine ni les règles et lois internationales.
Mme Maryam Radjavi a souligné la nécessité de traduire en justice les dirigeants de la dictature religieuse qui voient la survie de leur régime illégitime dans la répression, la torture et les exécutions. Sous quelque prétexte que soit, a-t-elle ajouté, le silence face à la montée des exécutions sous le mandat de Rohani, qui atteignent une ampleur sans précédent, viole les valeurs universelles dans lesquelles croient l’ensemble des membres de l’ONU et dont le Conseil de sécurité est le gardien.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 1er juin 2014
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