CNRI - Le lundi 1er septembre, dans la province de Mazandaran (au nord de l’Iran), les bourreaux du régime iranien ont été contraints d’annuler la pendaison publique d’un prisonnier (désigné seulement par ses initiales : M.D.) après que des manifestants ont commencé à grimper sur les barrières mises en place par la police.
Le journal gouvernemental « Iran » a rapporté mardi: « Selon une source policière informée, tous les préparations ont été effectués pour l’exécution de cette peine de mort, mais pour des raisons de sécurité liées à la présence des membres de la famille du condamné, l’exécution a été reportée. »
La victime a été condamnée à mort après avoir été accusée du meurtre d’un autre homme lors d’une bagarre dans la rue.
Le rapport ajoute: « Alors que quelque 3000 personnes s’étaient rassemblés sur la place principale de la ville, des individus ont attaqué les barrières de sécurité. Les échauffourées qui ont suivi ont causé l’annulation de cette pendaison publique. »
La victime a été condamnée à mort après avoir été accusée du meurtre d’un autre homme lors d’une bagarre dans la rue.
Le rapport ajoute: « Alors que quelque 3000 personnes s’étaient rassemblés sur la place principale de la ville, des individus ont attaqué les barrières de sécurité. Les échauffourées qui ont suivi ont causé l’annulation de cette pendaison publique. »
Ce prisonnier a été finalement pendu en public le lendemain après avoir passé plus de cinq ans en prison.
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