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jeudi 25 septembre 2014

Iran : un prisonnier de conscience pendu pour une ‘interprétation différente du Coran’ !

                   
CNRI - La Résistance iranienne appelle le Haut Commissaire aux droits de l’homme de l’ONU et son conseil des droits de l’homme, ainsi que toutes les organisations internationales des droits humains à condamner avec force l’exécution du prisonnier de conscience Mohsen Amir Aslani sur l’accusation de « corruption sur Terre, d’avoir changé les principes de l’islam et les lois secondaires, et de nouvelle interprétation du Coran”.
Elle appelle également à l’adoption de mesures contraignantes contre la montée des exécutions arbitraires par le fascisme religieux en Iran.

M. Amir Aslani, 37 ans, emprisonné depuis huit ans, avait d’abord été condamné à quatre ans de réclusion, qui ont ensuite été commué en 28 mois. Cependant, des charges fabriquées de toutes pièces ont été apportées contre lui, et le juge potence Salavati l’a condamné à mort.

Or ce régime religieux et ses dirigeants sont les premiers qui, avec le massacre du peuple iranien et la destruction de ses richesses, sont les plus corrompus sur Terre, ont causé les plus grandes altérations à l’islam, et ont lié leurs atrocités à la religion et au Coran.

Le régime des mollahs s’abstient de restituer le corps du condamné à sa famille, créant des obstacles et avançant des réponses contradictoires.

Cette atrocité vient renforcer le surnom de “président des exécutions” donné au mollah Rohani par le peuple iranien avec plus de 1000 exécutions sous son mandat infâme. Il se trouve actuellement à New York pour gonfler l’image de son régime criminel.  

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