CNRI – Dans plusieurs universités à Téhéran et dans d’autres villes en Iran, des étudiants ont organisé des actions de protestations pour dénoncer les attaques à l’acide perpétrées contre des femmes par des agents des mollahs. Ces actions durant la semaine écoulée.
A l’université polytechnique de Téhéran, les étudiants contestataires se sont rassemblés dans l’enceinte de l’université et ont exprimé leur colère contre ces attaques criminelles.
A l’université Allameh à Téhéran, à l’université d’Ispahan (centre de l’Iran) et à l’Institut technologique Noushirvani de Bâbol (nord de l’Iran) des rassemblements similaires ont été organisés par des étudiants pour dénoncer ces crimes barbares commis contre des femmes.
Pour empêcher que ces contestations prennent de l’ampleur, les mollahs ont employé des menaces et ont averti que toute personne participant à ce type de manifestations sera interpelée.
L’agence de presse Tasnim (appartenant à la Force Qods des pasdaran) a rapporté le lundi 27 octobre : « Le gouverneur d’Ispahan, Rassoul Zargarpour, a déclaré lors d’une conférence de presse que rien ne justifie la participation à des rassemblements sur ce sujet. Il a ajouté que toutes personnes participant à ce type de rassemblement seront sévèrement sanctionnées. »
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