Facebook, Twitter, Instagram, les bêtes noires de la diffusion d'informations qui échappent souvent au contrôle des mollahs de Téhéran, sont à nouveau sur la scellette. En Iran, huit personnes ont été arrêtées car elles sont à l'origine de publication de photos de femmes non voilées.
Tout le monde sait désormais que ces réseaux sociaux sont bannis en Iran, hormis encore Instagram... Mais pour combien de temps encore ? Et ceux qui osent encore y avoir recours malgré les menaces sérieuses pesant sur eux, sont rapidement placés derrière les barreaux des prisons iraniennes et accablés d'accusation telles que propagation de « culture anti-islamique ». C'est ce qui est advenu des huit personnes proches du milieu de la mode, suite à une déclaration du Chef du tribunal chargé de la cybercriminalité.
Tout le monde sait désormais que ces réseaux sociaux sont bannis en Iran, hormis encore Instagram... Mais pour combien de temps encore ? Et ceux qui osent encore y avoir recours malgré les menaces sérieuses pesant sur eux, sont rapidement placés derrière les barreaux des prisons iraniennes et accablés d'accusation telles que propagation de « culture anti-islamique ». C'est ce qui est advenu des huit personnes proches du milieu de la mode, suite à une déclaration du Chef du tribunal chargé de la cybercriminalité.
L'Etat Iranien a mis en place le plan « Araignée II », un plan de chasse miniieusement élaboré pour traquer les personnes qui « propagent des contenus immoraux et une culture ant-islamique » sur Instagram notamment. Les personnes concernées sont le plus souvent des personnes issues du milieu de la mode.
170 personnes ont été identifiées depuis deux ans.
Après Twitter, Facebook, Instagram risque de vivre ses derniers instants. Derniers instants d'expression libre et véritable, avant de tomber sous le joug et le contrôle du régime des mollahs qui musèle aussitôt qu'il le peut toute forme d'expression, quelle qu'elle soit, pourvue qu'elle échappe à son contrôle.
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