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mercredi 14 septembre 2016

L'otage britannique de l'Iran

 The Wall Street Journal - Les mollahs utilisent une peine de prison de cinq ans comme force de levier pour obtenir une rançon. Le président Obama a dit que les 400 millions $ qu'il a payé à l'Iran en janvier pour la libération de quatre otages était un effet de levier, pas une rançon. Si oui, les mollahs ont apparemment développé un goût pour cela. En témoigne la peine de prison de cinq ans appliquée à leur dernier otage occidental, qui a été rendu publique, vendredi.
Nazanin Zaghari-Ratcliffe, une citoyenne irano-britannique, s'était rendu en République islamique pour visiter des parents. Elle est la mère d'une petite fille de 2 ans.
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