Selon les dissidents iraniens, le Guide Suprême de l'Iran dépense militairement des milliards dans le terrorisme et les armes
L'Iran a dépensé jusqu'à 100 milliards de dollars au cours des cinq dernières années pour financer des opérations en Syrie qui ont contribué à maintenir le président Bachar El-Assad au pouvoir, selon un livre sur les vastes exploitations commerciales et la richesse de la théocratie radicale islamique. Rapport de Rowan Scarborough dans The Washington Times, le mercredi 8 mars 2017.
Le livre électronique « Iran : La croissance de l'Empire financier des pasdaran » estime que la république islamique a payé près de 100 millions de dollars par an en salaires à une bande de mercenaires qu'elle a envoyé en Syrie sous la direction de la célèbre Force Al-Qods.
L'Iran s’ingère en Syrie parce que le régime, dominé par les chiites, dirige la plus grande accumulation d'armes de son histoire, en se concentrant sur de nouveaux missiles et des moyens de déployer des forces dans des conflits régionaux, tels que la guerre civile en Syrie.
Le livre électronique a été publié mercredi par le plus grand groupe d’opposition de l’intérieure de la République islamique – le Conseil National de la Résistance iranienne, qui inclut l’opérationnelle Organisation des Moudjahidine du Peuple d’Iran (OMPI)
L'étude a deux objectifs. La première consiste à documenter une importante ponction financière et l’enrichissement en entreprise du Guide Suprême iranien, l'Ayatollah Ali Khamenei, et des pasdaran, une branche militaire qui exporte le terrorisme et protège âprement tous les aspects de la domination des mollahs sur 79 millions de personnes.
Selon le livre électronique, « Le bureau de Khamenei a pratiquement englouti tout ce qui compte ».
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