Par Shahriar Kia
Les Etats-Unis ont imposé cette semaine des sanctions au guide suprême des mollahs, Ali Khamenei, et à une série de chefs militaires, renforçant la pression exercée sur le régime sinistre des pasdaran.
Trump a signé les mesures financières punitives dans le bureau ovale, le qualifiant de "réponse forte et proportionnée aux actions de plus en plus provocantes de l'Iran".
Répétant que "jamais l'Iran ne pourra disposer d'une arme nucléaire", a déclaré Trump. Il appartient maintenant à Téhéran de négocier.
"Nous ne demandons pas de conflit", a-t-il déclaré, ajoutant que, selon la réponse de l'Iran, les sanctions pourraient prendre fin demain ou que "ces sanctions pourraient également prendre des années".
Les États-Unis bloquent "des milliards" de plus d'actifs du régime iranien. Les huit commandants supérieurs des pasdaran ont déjà été ajoutés à la liste.
Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne, a déclaré en réponse à l'annonce du président Trump: « Les sanctions touchant Khamenei et son siège sont les plus essentielles. C’est le plus grand centre de crimes, de corruption et de terrorisme en #Iran. Il faut étendre ces sanctions au ministère du Renseignement des mollahs, la gestapo religieuse, qui fait obstacle au soulèvement pour un #Iran libre ».
Les sanctions touchant Khamenei et son siège sont les plus essentielles. C’est le plus grand centre de crimes, de corruption et de terrorisme en #Iran.— Maryam Radjavi (@Maryam_Rajavi_F) June 24, 2019
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