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mardi 25 juin 2019

Le vice-président Mike Pence : Les États-Unis se tiennent aux côtés du peuple iranien

Le vice-président Mike Pence : Les États-Unis se tiennent aux côtés du peuple iranien
Le gouvernement des États-Unis cherche à soutenir le peuple iranien, a déclaré dimanche le vice-président Mike Pence dans le cadre de l'émission Face the Nation de CBS.
Interrogé sur la stratégie des États-Unis face aux menaces posées par Téhéran, Pence a déclaré : « Ce que nous voulons faire, c'est nous joindre au peuple iranien, dont des milliers se sont rassemblés devant la Maison-Blanche vendredi dernier et dont des dizaines de milliers sont descendus dans la rue l'an dernier dans les communautés iraniennes, nous voulons nous joindre à eux pour voir l'Iran avancer, avancer vers un avenir et adopter la liberté. »

« Alors que nous nous opposons fermement aux Ayatollahs, nous nourrissons les plus grands espoirs pour le peuple iranien », a-t-il déclaré.
Le vice-président Pence a ajouté que depuis 40 ans, le régime des mollahs « répand la terreur ».
« C'est le principal État parrain du terrorisme dans le monde. Ces jours doivent prendre fin, et les États-Unis vont continuer à se tenir, résolument, aux côtés du peuple iranien pour un avenir meilleur pour eux. »


.@VP Mike Pence on CBS @FaceTheNation: The US stands with Iran's people.
"What we want to do is stand with the Iranian people, thousands of which gathered outside the @WhiteHouse on Friday, and tens of thousands of which, took to the streets last year." https://www.ncr-iran.org/en/news/iran-resistance/26364-vp-mike-pence-the-us-stands-with-iran-s-people 

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La position de Maryam Radjavi
Pour sa part, la présidente élue du CNRI, Maryam Radjavi, a déclaré dans un message vidéo au rassemblement de vendredi que l'affirmation du régime des mollahs au sujet d'une « équipe B" aux États-Unis n'étaient qu'une tentative pour dissimuler leur propre « équipe de la bombe » : de la fabrication d'une bombe nucléaire aux attentats à la bombe en Albanie et en France, en passant par les bombes et les poses de mines contre les pétroliers dans le golfe Persique, jusqu'aux explosions, drones et attaques aux missiles contre l'Arabie saoudite et le ciblage de l'ambassade des États-Unis à Bagdad. Quand les mollahs n’ont pas de comptes à rendre, ils se sentent encouragés et continuent : les tirs de Katioucha à Mossoul et Bassora et les tirs sur les drones américains sont des exemples qui en disent long. »
Réaffirmant que le régime théocratique est la principale cause de guerre et de crise dans la région, Mme Radjavi a déclaré : «En effet, quelle est la véritable question au cœur de la politique américaine et européenne vis-à-vis du fascisme religieux au pouvoir en Iran : la complaisance ou la fermeté ?
Plus nous approchons de la fin de ce régime, plus la contradiction et la polarisation entre le régime et les opposants au régime deviennent plus évidentes.
Après 40 années durant lesquelles ce régime a mené des guerres sans répit contre le peuple iranien et le reste du monde, ses apologistes et ceux qui en bénéficient feignent de s’inquiéter d’une guerre. Ils en font un prétexte pour décourager le monde d'adopter la moindre forme de fermeté et, à la place, appellent à la complaisance avec les criminels au pouvoir en Iran.
Les principales victimes, cependant, sont les Iraniens. L'expérience de ces quarante années a prouvé que la théocratie des mollahs est incapable de toute réforme ou changement de comportement. Comme le dit si bien un proverbe persan, « une vipère n’accouche pas d’une colombe ».
Khamenei, le dictateur iranien, a dit que tout changement dans le comportement du régime est synonyme d’un changement de régime.
« Aussi, quelle est la véritable question qui se pose à nous, à notre peuple et notre résistance ? » Elle a conclu : « Se rendre ou se battre pour la liberté jusqu'au bout. Oui, nous ne voulons rien de plus que la liberté et les droits humains qui, bien entendu, nous ouvriront également la voie au développement et à la justice. Cela entraînera la paix et la sécurité en Iran et au Moyen-Orient. Un Iran libéré du fascisme religieux, un Iran non nucléaire et un Iran sans terrorisme ni belligérance.»

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