Pages

lundi 23 décembre 2019

MARYAM RADJAVI: LES MARTYRS DU SOULÈVEMENT ONT FAIT DE KHAMENEI LE DICTATEUR LE PLUS ABOMINABLE DE NOTRE TEMPS


Maryam Radjavi: les martyrs du soulèvement ont fait de Khamenei le dictateur le plus abominable de notre temps

Cérémonie à Achraf-3 en mémoire des victimes de la répression du soulèvement de novembre en Iran

 
Insurgés de la liberté,
Mères et pères des victimes,
Membres intrépide des unités de résistance,
Chers compatriotes,
Je vous adresse à toutes et à tous des milliers de saluts,
En ce jour nous célébrons à Achraf-3 avec les Moudjahidines, enfants les plus braves du peuple d’Iran, le 40e jour de la mort des victimes de la répression du soulèvement de novembre.
Massoud Radjavi a dit :

 « le torrent impétueux du sang des martyrs garantit la victoire inéluctable de notre peuple. »
Des martyrs qui avec le sacrifice de leur vie ont enflammé et ravivé la société iranienne. C’est une célébration au nom de toutes les mères et de tous les pères endeuillés des victimes du soulèvement. Au nom de tous ceux qui ces quarante derniers jours ont pleuré sur les héros de notre temps et dont la colère a affermi leur détermination de déraciner cette dictature religieuse sanguinaire.
Je vous adresse à toutes et à tous du plus profond du cœur et de mon âme mes condoléances pour la perte de vos êtres chers et je salue votre persévérance.

Les fleurs d’une génération insurgée

Je m’adresse au peuple et à la jeunesse courageuse d’Iran et à tous les amis et soutiens, à tous les concitoyens et voisins de quartiers de ces héros tombés, et plus que tout, à vous chères familles endeuillées, en particulier les mères au cœur brisé, je m’exprime aujourd’hui au nom d’une résistance qui lutte depuis quarante ans contre la sauvagerie et l’imposture des mollahs.
Depuis le jour où les pasdarans ont ouvert le feu sur la manifestation pacifique du 20 juin 1981 à Téhéran, et ont mené à l’abattoir les Moudjahidine du peuple, leurs jeunes partisans et leurs blessés arrachés de leurs lits d’hôpital le 27 septembre 1981, jusqu’aux héros tombés dans l’opération Lumière éternelle de l’ALNI, les 30.000 prisonniers politiques victimes massacrés durant l’été 1988 et les attaques sauvages à la roquette et des agents de Khamenei contre Achraf et Liberty.
A tous les moments de cette lutte de 40 années, innombrables ont été mes sœurs et mes frères Moudjahidine du peuple et combattants qui ont été tués, exécutés et massacrés par les mollahs. Sachez que les Moudjahidine du peuple et les membres de cette Résistance ressentent de tout leur être votre souffrance et votre peine.
Mais sachez que ces martyrs sont vivants et éternels. Ils sont les fleurs et les boutons éclos d’une génération insurgée. Les fleurs de la volonté sacrée d’un peuple déterminé qui s’est levé. Ce sont les messagers qui annonce l’arrivée de l’ange de la liberté en Iran.
Alors relevez la tête, soyez fiers d’eux. Vous êtes les pères et les mères de héros qui ont fait trembler si fort le régime que les mollahs ne connaissent plus de repos.

Crime contre l’humanité

Selon les informations parvenues à ce jour, le nombre de victimes dépasse les 1500. Certes le véritable nombre est bien plus élevé. Mais jusqu’à présent par rapport au soulèvement de janvier 2017, le régime a tué au moins 60 fois plus de personnes et en a blessé aussi 60 fois plus à coups de couteau, de hache et de plombs.
En fait, ce qui s’est passé est un crime contre l’humanité commis dans la rue sous les yeux de la population sans défense. C’est un des crimes les plus effroyables du 21e siècle que le monde peut voir de ses propres yeux.
Le monde voit que le régime des mollahs n’hésite même pas à tuer des enfants de 13 et 14 ans.
Amir-Reza Abdollahi, 13 ans tué à Islamchahr près de Téhéran, Nikta Esfandani, 14 ans tuée dans l’avenue Satar-Khan de Téhéran, Armin Ghaderi, 15 ans, tué dans le quartier Dolat-Abad de Kermanchah, Khaled Ghazalavid, 16 ans, tué à Khorramchahr, et Reza Neissi, 16 ans, tué dans le quartier Parastou de la ville d’Ahwaz. Et ce n’est qu’une partie des adolescents tués dans ce soulèvement.
Mais qu’avaient donc fait Amir-Reza, Nikta et Armin pour être tués ? Pourquoi le sang de Khaled et de Reza a-t-il été versé ? Le ciel et la terre le crient : pour quel crime ont-ils été tués ?
Parmi les héros tombés pendant le soulèvement en Iran, je peux voir les noms de femmes vaillantes. Elles ont stupéfié les pasdarans par leur audace et leur combattivité et le régime a reconnu à maintes reprises leur rôle déterminant dans les manifestations. Gloire à ces héroïnes !

Innocence

Permettez-moi de souligner que face à ces adolescents et ces jeunes descendus dans la rue pour le renverser, le régime ne pourra pas se maintenir au pouvoir.
Si Khamenei et ses pasdarans pensent qu’ils pourront rester au pouvoir en remplissant les marais de Mahchahr de cadavres et de sang de la population sans défense, ils se trompent lourdement.
Les massacres sont un signe de la fin du régime inhumain des mollahs.
Oui, ce sont ces héros glorieux qui ont fait du commanditaire de ces massacres, Khamenei, le dictateur sanguinaire le plus honni de notre temps.
Mais malgré ce sang versé et tous ces crimes, le soulèvement continue en Iran. Les mollahs emporteront dans la tombe l’espoir de pouvoir, selon leurs termes, remballer ce soulèvement. Comme l’a dit Massoud Radjavi, « on ne peut pas remballer le soulèvement pour le renversement et l’instauration de la souveraineté populaire en Iran. Voici venu le temps de la multiplication et de l’expansion des unités, des zones et des villes insurgées, pas celui de remballer ! Par contre ce qu’il est prévu de remballer, c’est la dictature religieuse dans sa totalité. »

Conclusions du soulèvement de novembre

Chers compatriotes, mes sœurs et frères,
Le soulèvement de novembre a éclaté alors que contrairement à celui de décembre 2017 et janvier 2018 le régime s’y était préparé. Pour parer aux réactions sociales contre l’augmentation du prix de l’essence, les forces répressives avaient été mises en état d’alerte. A la suite du soulèvement de janvier 2018, le régime s’est efforcé d’éliminer les terrains propices à l’insurrection par des mesures répressives ou des tromperies. Mais il n’a pas réussi à empêcher un nouveau soulèvement.

Un coup irréparable au régime

Je saisis cette occasion pour résumer ici des conclusions à propos du soulèvement :
1- Dans ses premières 48 heures, le soulèvement de novembre a porté des coups fondamentaux, stupéfiants et irréparables à l’ensemble du régime. La population en colère opposée aux forces répressives a détruit les centres de répression, de pillage et d’oppression des mollahs.
Selon les autorités, un millier de banques, 900 stations-services et de très nombreux gouvernorats ont été dévorés par les flammes. Plus de 80 bases des pasdarans, de la milice du Bassidj et commissariats, et de nombreux séminaires de la corruption ont été pris d’assaut ou sont tombés aux mains des insurgés.
Les insurgés ont libéré de grandes parties de plusieurs villes.
Dans certains points comme les « fours industriels » de Mahchahr, des manifestants en colère ont pris les armes. L’insurrection et les protestations se sont transformées en lutte totale contre les pasdarans assassins. Et ils ont fait sentir au régime le vent du boulet de la victoire et de la libération.

Confrontation totale

2- Ce soulèvement a placé d’un côté le peuple, les jeunes insurgés et les unités de résistance, et en face l’ensemble du régime avec ses forces répressives et son appareil politique. A 14h le samedi 16 novembre, le régime paniqué a placé ses forces de sécurité en alerte rouge et les pasdarans ont totalement pris en main le commandement de la répression. Toutes les forces ont été mises sous leurs ordres. Mais même de cette manière, le régime n’a pu maitriser la situation.
A 6h45, dimanche matin, Khamenei est entré précipitamment en jeu afin de prendre position lors d’un séminaire religieux. Tout en apportant son soutien à la hausse du prix de l’essence, il a donné lui-même l’ordre de réprimer sans limite en disant : « les responsables du pays doivent agir avec sérieux conformément à leurs devoirs. »
Tout le monde a vu comment dans des villes comme Khorramchahr et Kermanchah, Chiraz et Mahchahr, il a utilisé des chars, des blindés et des hélicoptères.

Un tournant

3- Dans le camp du peuple, selon le ministre de l’Intérieur de Rohani, le nombre des participants aux manifestations et aux attaques se montaient à 600.000. Il a ajouté que parmi eux, un groupe de 130 à 200.000 personnes « se déplaçaient en permanence pour lancer des émeutes dans divers endroits. Par exemple samedi, à Téhéran une centaine de points ont connu des affrontements. »
Et ce n’est qu’une partie de ce qui s’est arrivé et qu’ils révèlent, imaginez alors ce qui s’est vraiment passé.
Le régime minimise à l’extrême la réalité. Mais en même temps il reconnait l’existence d’une force combattive qui lui est opposée à l’échelle de plusieurs centaines de milliers de personnes engagées dans la lutte pour le renversement de la tyrannie religieuse.
C’est cette force combattive qui forme la colonne vertébrale de l’armée de la liberté pour le renversement et qui a surgi dans toutes les rues d’Iran.
La posture terrifiante que les pasdarans tentaient de se donner, s’est effondrée. La population a foi dans sa propre force, la peur a changé de camp. C’est au tour du régime d’avoir peur en permanence. C’est le résultat stratégique majeur du soulèvement. Le peuple iranien et sa résistance ont payé un lourd tribut pour effectuer un bond en avant immense et irréversible. Le peuple et les insurgés avec les jeunes et les unités de résistance ont atteint un tournant et la situation ne reviendra pas en arrière.

Une société explosive

4 – Les sources et le terrain de ce soulèvement se trouvent dans une société impétueuse et explosive. Les flammes du soulèvement ont grandi dans les quartiers pauvres, où s’est installée une population venant des petites villes et des villages, comme Islamchahr et Qaleh-Hassan-Khan, Chahriar et Robat-Karim et Marlik dans le sud et l’ouest de Téhéran, jusqu’à Fardis et Golchahr de Karadj, de Jafar-Abad à Elahieh et Dolatabad de Kermanchah jusqu’à Zourabad et Charifabad de Sanandaj et Joujehsazi de Marivan, de Maali-Abad et Kouzegari de Chiraz jusqu’à Zeinabiyeh d’Ispahan.
Oui, les habitants de ces villes brulent de misère et de chômage, sont privés de nombreux services publics des zones urbaines et sont des exclus du pays. Ces villes et ces quartiers sont les produits du pillage et de la destruction du régime, en particulier depuis les années 1990, et ne sont pas apparus en une nuit pour qu’on puisse y remédier aussi facilement. Cela veut dire qu’il n’y a pas de solution pour le régime parce que c’est lui qui a créé ces catastrophes et cette misère sociale.
Par conséquent il faut dire que face aux unités de révolte dans ces villes les mollahs sont impuissants et dans une impasse. C’est le sort qui attend à nouveau le régime dans un futur proche. 

L’étincelle du soulèvement

5 – Aujourd’hui le régime avec ses propres mots dit que les unités de résistance durant les deux dernières années ont travaillé sans répit et ont donné au mouvement de protestation populaire une orientation. Les activités des unités de résistance depuis janvier 2018 se sont déroulées avec beaucoup d’arrestations et de sacrifices pour maintenir la flamme du soulèvement allumée. Et comme l’a dit Massoud Radjavi en novembre 2018 : « les unités de résistance sont les étincelles qui vont allumer la révolte. C’est la pointe de la pyramide du soulèvement et son gouvernail. C’est le facteur qui garantit la poursuite du soulèvement, sa progression et sa victoire. C’est de leur stabilisation, de leur multiplication et de leur organisation les unes avec les autres dans les villes insurgées que naitront les bataillons de l’armée de la liberté. »
Le soulèvement de novembre a démontré la justesse de la stratégie des unités et des villes de résistance. Une stratégie tracée et annoncée par le dirigeant de la Résistance depuis 2013, après le massacre des Moudjahidine du peuple en septembre à Achraf.
Oui, l’idée des unités de résistance ouvre la voie et guide la génération insurgée.

Massacre

6- Face au soulèvement pour la liberté du peuple iranien, la dictature religieuse s’est livrée à un crime contre l’humanité. En 1988 Khomeiny avait commis ce crime dans les prisons et en secret. Aujourd’hui Khamenei massacre dans les rues. Il fait tirer dans le cœur et dans la tête des jeunes à bout portant, jette les corps des manifestants tués dans les rivières et les barrages et assène des coups de hache aux blessés tombés à terre.
En se livrant à un massacre, Khamenei et ses pasdarans féroces ont creusé la tombe du régime. Ce bain de sang a décuplé la colère de la société et avive le dynamisme du prochain soulèvement. Il a renforcé la détermination du peuple iranien de se battre pour conquérir sa liberté. Une génération pugnace, intrépide, éveillée avec un formidable moral combattif est descendue dans l’arène pour renverser ce régime.
La génération du soulèvement de novembre, génération insurgée, est une force déterminante pour livrer la bataille que l’armée de la liberté du peuple iranien entend livrer.
Regardez ces photos. Je n’ai pas pu toutes les mettre sur une seule feuille. Regardez ces visages ! Regardez leur âge ! Regardez leur volonté et leur détermination ! Et leur colère qui est celle d’un peuple enchainé qui n’en peut plus.
Regardez les bien, que disent-ils, que veulent-ils ? Ils veulent à n’importe quel prix le renversement de ce régime dans sa totalité. C’est pour cela qu’ils sont allés avec autant de bravoure au-devant des balles de l’ennemi et qu’ils sont tombés au champ d’honneur. Gloire à eux !

Pas de révolution de velours

7- Le soulèvement sanglant de novembre a également fait disparaitre une série d’illusions sur le régime. Ce régime n’est ni capable de survivre ni de connaitre la stabilité et l’équilibre. Ce soulèvement a démontré que les révolutions de couleurs et de velours en Iran ne sont qu’un mirage. Personne en Iran n’espère de changement venant de l’intérieur du régime. La seule solution est le renversement de cette tyrannie dans sa totalité et cela se fera sans le moindre doute.

Briser le silence

8- La communauté internationale doit mettre fin à son silence et son inaction. Les gouvernements dans le monde et les instances internationales doivent appeler à la fin immédiate des tueries et des arrestations. Khamenei qui a ouvertement donné l’ordre de réprimer, Rohani, son président qui n’a cessé de répéter son soutien aux opérations répressives, des meurtriers comme Chamkhani, le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale, et Salami, commandant des pasdarans, ont commis des crimes contre l’humanité. Le conseil de sécurité de l’ONU doit les déclarer comme des criminels contre l’humanité et ils doivent être traduits en justice.
L’ONU doit immédiatement envoyer des missions en Iran pour enquêter les personnes tuées, blesses et emprisonnées.
Le monde doit soutenir la légitimité de la résistance et de la lutte de la jeunesse insurgée d’Iran contre la violence des pasdarans. Le monde doit reconnaitre la lutte du peuple iranien pour le renversement de ce régime. Ce droit figure en bonne place dans la Déclaration universelle des droits de l’homme, dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de la Révolution française, et dans la Constitution américaine. Comme le stipule le préambule de la Déclaration universelle des droits de l’homme, le peuple d’Iran s’est levé en dernier recours contre la tyrannie et l’oppression. Cela doit être reconnu.

Une université de l’insurrection

Mes chers compatriotes,
Peuple éveillé en quête de liberté,
Le soulèvement de novembre est un moment spectaculaire de l’histoire de notre pays riche en leçons brillantes et durables. C’est une université ouverte à des millions de jeunes insurgés de notre pays :
- Pour apprendre la stratégie et les tactiques du soulèvement et du renversement du régime.
- Pour comprendre en profondeur les capacités de la société à opérer un changement radical et fondamental.
- Pour saisir au plus profond la décadence d’un régime sans solution pour ses crises.
- Pour apprendre la futilité des investissements dans la modération du régime et la quête d’une solution sans en payer le prix.
- Pour voir partir en fumée les solutions dans les marges du régime et les stratégies creuses,
- Pour voir comment sonnent creux la rhétorique et les critiques des alliés de facto du régime contre la stratégie de l’OMPI depuis le 20 juin 1981 à ce jour.
- Et d’ouvrir les yeux sur la force qui combat le régime et la colonne vertébrale de la bataille de son renversement.
Il a été démontré, comme l’a dit Massoud Radjavi, que ce régime mérite un torrent de feu et qu’il faut écraser le Corps des pasdarans. Tout effort pour attirer les pasdarans ou une partie d’entre eux, revient ni plus ni moins à y adhérer. Oui, c’est de cette manière que l’on balaye d’un revers de main la fabrique d’alternatives de pacotille avec l’assistance directe ou indirecte du régime, ou à la demande de telle puissance ou de tel service étranger.
La Résistance iranienne est remplie de fierté. L’armée de la liberté a été portée par les bataillons de jeunes insurgées et le volcan des affamés, des chômeurs et des opprimés.
La question qui se pose est aussi simple que claire : quelle force, quelle stratégie et quelle politique peut faire tomber ce régime ? Est-elle spontanée ou organisée? Doit-elle regarder en arrière ou se projeter en avant? Doit-elle avancer sur des paroles lancées aux quatre vents ou progresser aux prix de sacrifices et de sang versé? Est-ce une mixture de quelques pays étrangers ou doit-elle jaillir de 60 années de lutte douloureuse et sanglante contre les dictatures du chah et des mollahs ?
Oui, nous accueillons avec plaisir quiconque veut et peut abattre ce régime. A condition qu’il soit focalisé sur l’Iran et le fascisme religieux au pouvoir, à condition qu’il soit focalisé sur le renversement de facto de l’ennemi du peuple et qu’il ne se limite pas à des paroles vides, des slogans inoffensifs et des pétards mouillés qui n’atteignent pas le régime.
Aujourd’hui nul n’ignore que le nom le plus tabou et la première ligne rouge du régime est celui des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK), comme c’est le cas depuis 40 ans. Les agents du régime reconnaissent clairement que leur ligne rouge n’est pas de toucher au nom de Khamenei, mais de nommer « l’organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran ».
Je parle d’une organisation, de l’OMPI, qui se bat depuis plus de cinquante ans, qui en a payé le prix et dont nous avons aujourd’hui deux témoins, deux membres qui viennent de décéder.

Une solidarité essentielle

Chers compatriotes, chers sœurs et frères,
La solidarité et la coopération sont des éléments essentiels pour la poursuite du soulèvement.
Soutenir les familles des martyrs, secourir les blessés et assister les unités de résistance sous toutes les formes et par tous les moyens sont des devoirs patriotiques.
Où que vous soyez, renforcez le moral et la détermination des Iraniens en célébrant les enfants dévoués du peuple et en commémorant leurs sacrifices.
Votre soutien aux unités de résistance est essentiel et revient à participer à écrire le destin brillant de l’Iran de demain.
Gloire aux martyrs !
Vive les insurgés !
Vive la liberté et l’armée de la liberté !
Maryam Radjavi: les martyrs du soulèvement ont fait de Khamenei le dictateur le plus abominable de notre temps

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire