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vendredi 29 mai 2020

Roumina, une adolescente de 14 ans, victime des lois barbares et misogynes des mollahs en Iran

Iran’s misogynist regime is responsible for Romina Ashrafi’s death Honor killings in Iran
 Le meurtre effroyable de Roumina Ashrafi, une adolescente de 14 ans, par son père, est le résultat des politiques et des lois oppressives et médiévales des mollahs misogynes qui encouragent et promeuvent la violence contre les femmes dans le droit et dans la pratique. C’est le fascisme religieux au pouvoir en Iran qui est responsable du meurtre de Roumina Ashrafi.

Les médias officiels ont écrit que le juge a forcé Roumina à retourner chez son père alors qu’elle le suppliait en pleurant de ne pas y aller car il la tuerait. Mais ce juge criminel, en s’appuyant sur les lois anti-islamiques des mollahs, a rendue l’adolescente à son père, l’envoyant à la mort.
En autorisant la pratique des « crimes d’honneur » et avec l’article 220 du Code pénal, où le père en sa qualité de propriétaire du sang de son enfant n’encourt pas la loi du talion s’il le/la tue, mais est redevable du prix du sang et d’un châtiment, le régime inhumain encourage ces crimes innommables.
La commission des Femmes du Conseil national de la Résistance iranienne condamne avec force le meurtre de cette adolescente innocente de 14 ans. Elle considère le fascisme religieux au pouvoir en Iran comme responsable. Elle appelle Mme Michèle Bachelet, la Haut-Commissaire aux droits de l’homme de l’ONU, le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, les instances internationales, les Rapporteurs et les défenseurs des droits humains, des femmes et des enfants à condamner le régime iranien pour ses lois et ses pratiques misogynes et préparer le terrain à ce genre de crimes.
Commission des femmes du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 28 mai 2020 Le meurtre effroyable de Roumina Ashrafi, une adolescente de 14 ans, par son père, est le résultat des politiques et des lois oppressives et médiévales des mollahs misogynes qui encouragent et promeuvent la violence contre les femmes dans le droit et dans la pratique. C’est le fascisme religieux au pouvoir en Iran qui est responsable du meurtre de Roumina Ashrafi.
Les médias officiels ont écrit que le juge a forcé Roumina à retourner chez son père alors qu’elle le suppliait en pleurant de ne pas y aller car il la tuerait. Mais ce juge criminel, en s’appuyant sur les lois anti-islamiques des mollahs, a rendue l’adolescente à son père, l’envoyant à la mort.
En autorisant la pratique des « crimes d’honneur » et avec l’article 220 du Code pénal, où le père en sa qualité de propriétaire du sang de son enfant n’encourt pas la loi du talion s’il le/la tue, mais est redevable du prix du sang et d’un châtiment, le régime inhumain encourage ces crimes innommables.
La commission des Femmes du Conseil national de la Résistance iranienne condamne avec force le meurtre de cette adolescente innocente de 14 ans. Elle considère le fascisme religieux au pouvoir en Iran comme responsable. Elle appelle Mme Michèle Bachelet, la Haut-Commissaire aux droits de l’homme de l’ONU, le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, les instances internationales, les Rapporteurs et les défenseurs des droits humains, des femmes et des enfants à condamner le régime iranien pour ses lois et ses pratiques misogynes et préparer le terrain à ce genre de crimes.
Commission des femmes du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 28 mai 2020

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