Effrayé par la propagation des révoltes de la population et pour créer un climat de terreur, le fascisme religieux en Iran multiplie les exécutions sauvages, en parallèle avec l’installation de Raïssi à la présidence et d’Ejeï à la tête du judiciaire. Khamenei s’imagine en vain qu’il peut empêcher l’éruption de la colère populaire avec davantage d’exécutions et de répression. Le soulèvement héroïque du Khouzistan et son extension dans diverses villes d’Iran montrent que les exécutions et la répression ne servent plus à rien.
J’appelle l’ONU et ses Etats membres à condamner les exécutions criminelles en Iran et à prendre des mesures urgentes pour sauver les condamnés à morts. Il faut renvoyer le dossier des violations systématiques des droits humains en Iran devant le Conseil de sécurité de l’ONU et traduire en justice les dirigeants du régime pour 40 années de crimes contre l’humanité.
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