Vendredi 25 février, Vienne, la capitale de l’Autriche, a été témoin d’une manifestation d’Iraniens et de partisans de la Résistance iranienne qui ont appelé les dirigeants mondiaux à cesser d’offrir des concessions à un régime assoiffé d’armes nucléaires et composé de bourreaux de masse et de terroristes.
Le jeudi 24 février, des Iraniens et des proches des martyrs du massacre de 1988 en Iran ont organisé une manifestation devant un palais de justice de Stockholm, exigeant le procès du guide suprême du régime Ali Khamenei, du président des mollahs, Ebrahim Raïssi et du juge en chef, Mohseni-Ejei, pour génocide et crimes contre l’humanité.
Le même jour, alors que les puissances mondiales tentaient de négocier avec le régime iranien à Vienne, les Iraniens et les partisans de la Résistance iranienne ont organisé une manifestation pour condamner tout éventuel accord qui enhardirait le fascisme religieux à Téhéran qui utilise les attentats à la bombe, le terrorisme et l’incitation à la guerre pour assurer sa survie.
Mercredi 23 février, alors qu’Hamid Noury, ancien gardien de prison et auteur du massacre de prisonniers politiques de 1988, était jugé par un tribunal à Stockholm, des partisans de la Résistance iranienne et des proches des martyrs ont défilé devant le tribunal , réclamant le procès des responsables du régime iranien pour génocide et crimes contre l’humanité.
Les sympathisants de la Résistance iranienne ont organisé une manifestation à Vienne le 22 février, dénonçant le régime criminel et son programme nucléaire. Les manifestants ont scandé des slogans contre les responsables du régime iranien et ont appelé au renversement de la dictature qui a apporté la pauvreté et la destruction au pays pour financer ses propres ambitions illicites.
Le 21 février, des patriotes iraniens à Vienne ont organisé un rassemblement contre le programme nucléaire de Téhéran et ont dénoncé les prétendus pourparlers qui visent à ouvrir la voie à davantage de concessions au régime meurtrier qui recherche des armes de destruction massive depuis quatre décennies.
Lundi 21 février, alors que Hamid Noury était jugé par un tribunal, la ville de Stockholm accueillait également une manifestation d’Iraniens et de proches de prisonniers politiques assassinés en Iran qui réclamaient justice pour leurs proches.
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