Maryam Radjavi : Les exécutions criminelles sont un signe du désespoir des mollahs face à une société explosive, mais ils n’échapperont pas à leur inévitable renversement.
Appel à une action immédiate pour sauver la vie de milliers de condamnés à mort et renvoyer le dossier des violations des droits humains en Iran devant le Conseil de sécurité de l’ONU
Les bourreaux du régime criminel des mollahs ont procédé, dans un crime odieux, à une exécution collective de 10 prisonniers à la prison de Gohardacht à Karadj le mercredi 29 juin. Le 22 juin, deux prisonniers avaient été exécutés à la prison centrale de Karadj et un prisonnier Baloutche à Jiroft, et le 23 juin, un autre prisonnier à Kerman.
Le fascisme religieux au pouvoir en Iran, incapable de faire face aux soulèvements et aux protestations sociales et pour créer un climat de terreur, a intensifié les exécutions sauvages et collectives. Rien qu’en 30 jours, du 22 mai au 20 juin, au moins 100 prisonniers ont été pendus dans diverses villes du pays, ce qui est sans précédent au cours des sept dernières années.
Mme Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne, a déclaré que ces exécutions criminelles traduisent le désespoir des mollahs face à une société explosive, mais que ce régime médiéval ne pourra échapper à son renversement inévitable. Elle a appelé la communauté internationale à prendre des mesures immédiates pour sauver la vie de milliers de condamnés à mort et à renvoyer le dossier des violations des droits humains en Iran devant le Conseil de sécurité de l’ONU. Elle a souligné que les dirigeants de ce régime doivent être traduits en justice pour quatre décennies de crimes contre l’humanité et de génocide.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 30 juin 2022
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