La machine à exécuter et à tuer de Khamenei fonctionne à grande vitesse par peur du soulèvement populaire en Iran, et ses bourreaux ont pendu quinze prisonniers en une semaine.
Le dimanche 12 mars, Ali Makhan Saifi a été exécuté à la prison Dieselabad de Kermanchah, et Towhid Ramezani et Nabi Langrani ont été exécutés à la prison Adelabad de Chiraz.
Le 11 mars, Zafar Hadipour, Nader Ibrahimpour, Youness Kolmarzi et un autre prisonnier ont été pendus à la prison centrale de Khorramabad.
Le 10 mars, Sayad Faramarzi, Saleh Ghassemi, Mansour Abdaizadeh et Jalal Sardari-Fard ont été pendus à la prison d’Oroumieh et Ahmad Bajizehi à la prison Adel Abad de Chiraz.
Le 9 mars, Jalal Sardari Far a été pendu à la prison centrale d’Oroumieh, et le mardi 7 mars, Meisham Bahrami et Shahbakhsh Ostadi ont été pendus à la prison centrale de Bandar Abbas.
Le 8 mars, un détenu nommé Taghizadeh a souffert de problèmes cardiaques à la prison d’Oroumieh. Il est décédé en raison du retard des responsables pénitenciers de l’envoyer à l’hôpital. Le 26 février, une prisonnière nommée Seyedeh Ameneh Ahmadi, arrêtée il y a deux ans, est décédée au centre correctionnel de Sanandaj en raison d’une grave intoxication et d’un manque de soins médicaux.
Le mardi 7 mars, un compatriote baloutche du nom de Mohammad Rigui a été tué par les forces de sécurité à Zahedan.
La Résistance iranienne appelle une fois de plus à la nécessité d’une action immédiate des Nations unies, de l’Union européenne et de ses pays membres pour forcer le régime des mollahs à cesser les exécutions et les tueries. Ce régime doit être rejeté par la communauté internationale. Il faut saisir le Conseil de sécurité de l’ONU du dossier de ses crimes et ses dirigeants doivent être traduits en justice pour quatre décennies de génocide et de crimes contre l’humanité.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 15 mars 2023
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