Maryam Radjavi a rencontré une délégation d’eurodéputés, dont M. Petras Auštrevičius, membre de la commission des affaires étrangères et de la sous-commission des droits humains, et Petri Sarvamaa au siège du Conseil national de la résistance iranienne.
Lors de cet entretien, M. Auštrevičius a souligné la nécessité d’imposer davantage de sanctions à la dictature religieuse, ajoutant que l’Europe est en train de réaliser que la complaisance avec cette tyrannie est une politique qui a échoué.
M. Sarvamaa a estimé de son côté qu’au fil du temps, le régime clérical devient plus violent et criminel et en même temps plus vulnérable. Un jour viendra où la page se retournera complètement contre ce régime, a-t-il anticipé.
Lors de cette réunion, Mme Radjavi a remercié les eurodéputés pour leur soutien à la lutte du peuple iranien pour la démocratie, mettant en avant que la complaisance avec les bourreaux au pouvoir en Iran ne se fait pas seulement au détriment du peuple iranien et de sa résistance, mais aussi au détriment de l’Europe et du monde.
L’Europe et l’Amérique sont faibles et sans défense contre les prises d’otages et le terrorisme, a-t-elle déploré, alors que l’expérience a prouvé que ce régime recule devant la force et la fermeté.
La raison pour laquelle la résistance iranienne a tenu bon contre ce régime au cours des 42 dernières années est cette persévérance et cette fermeté. Sinon elle aurait dû plier comme beaucoup d’autres et se faire absorber par l’une des factions du régime.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire