Défier la répression : Les unités de résistance de l’OMPI intensifient leurs efforts pour un Iran démocratique

 Malgré la vague d’exécutions et de mesures répressives du régime iranien, les unités de résistance de l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI) continuent d’étendre leurs activités dans toutes les villes et tous les coins de l’Iran. Ces courageux militantes et militants réaffirment leur volonté de renverser la théocratie au pouvoir et d’instaurer une république démocratique et laïque fondée sur la séparation de la religion et de l’État.

A Téhéran, les unités de résistance de l’OMPI ont affiché des posters de Maryam Radjavi avec le slogan “Non au hijab forcé, à la religion forcée et aux dirigeants forcés”, rejetant les lois oppressives du régime et plaidant pour la liberté de choix. Dans plusieurs villes, ils ont brandi des pancartes sur lesquelles on pouvait lire “Femme, Résistance, Liberté”, reconnaissant le rôle central des femmes iraniennes dans la lutte contre le régime misogyne des mollahs.

A Amol, les pancartes proclamaient “Démocratie, liberté, avec Maryam Radjavi”, réaffirmant le soutien à la vision de la démocratie de Radjavi. Les unités de résistance ont également dénoncé l’utilisation par le régime des exécutions pour maintenir son contrôle, en affichant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire “Abolir la peine de mort”.

Par leurs activités, les unités de résistance de l’OMPI soulignent les principes fondamentaux de la Résistance iranienne : l’engagement en faveur d’une république démocratique, la séparation de la religion et de l’État, l’égalité des sexes et l’abolition de la peine de mort – un contraste frappant avec les politiques oppressives de la théocratie au pouvoir.

Les unités de la Résistance s’opposent à toute forme de dictature, qu’il s’agisse du régime monarchique du chah ou de la tyrannie religieuse des mollahs. Elles soutiennent fermement le Conseil national de la résistance iranienne (CNRI) et le plan en dix points de sa présidente élue Maryam Radjavi, qui fonde entièrement sa légitimité sur des élections démocratiques.

Source : CNRI Femmes