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dimanche 9 juin 2024

La libération du bourreau Hamid Noury en Suède encourage le régime des ses crimes contre l’humanité

 Le ministère suédois de la Justice a annoncé dans un communiqué de presse que le gouvernement suédois avait l’intention de soumettre une loi au Parlement afin que les ressortissants étrangers emprisonnés en Suède puissent purger le reste de leur peine dans leur propre pays.

Le ministre suédois de la Justice a déclaré que les ressortissants étrangers « devraient autant que possible purger leur peine dans leur pays. » Selon l’annonce du ministère de la Justice, cette loi serait mise en œuvre à partir du 1er juillet 2025.

Il semble que face au chantage et aux prises d’otages des mollahs criminels, à l’instar du gouvernement belge qui a libéré le diplomate terroriste Assadollah Assadi, le gouvernement suédois prépare également le terrain à la libération de Hamid Noury, qui purge une peine confirmée de prison à vie.

La Commission judiciaire du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) condamne fermement toute préparation à la libération d’Hamid Noury. Récompenser les auteurs de massacres, les tortionnaires et les terroristes poseurs de bombe, encourage les mollahs et les pasdarans criminels dans le génocide et les crimes contre l’humanité contre le peuple iranien, ainsi que dans leur terrorisme sans limite.

En plus du chantage et de la prise d’otages de ressortissants suédois et de double nationalité, le régime des mollahs, par l’intermédiaire des porte-parole de ses ministère des Affaires étrangères et de la Justice et de la presse officielle, a attaqué et insulté à plusieurs reprises la justice suédoise pour le procès d’Hamid Noury et sa condamnation.

Selon l’agence Irna du 27 mai 2024, il y a moins de deux semaines, Kazem Gharib-Abadi, vice-président du pouvoir judiciaire du régime, a déclaré lors d’une réunion avec le fils d’Hamid Noury : « Tous les organes concernés, y compris le ministère des Affaires étrangères, le QG des droits de l’homme et le département des affaires internationales du pouvoir judiciaire s’efforcent » de libérer Noury.

La mission d’établissement des faits de l’ONU, pour la mise en place de laquelle le gouvernement suédois a voté, a demandé à divers pays du monde de poursuivre et de demander des comptes aux auteurs de crimes contre l’humanité en Iran dans le cadre de leur propre système judiciaire. Ainsi, la libération d’Hamid Noury constituerait une violation des engagements internationaux de la Suède à lutter contre les grands crimes.

Tous les prisonniers, les torturés, les plaignants demandant justice, les familles des martyrs du massacre et tout le peuple iranien protestent contre la libération du bourreau Hamid Noury, condamné à la prison à vie, et la condamnent fermement. Céder au chantage des mollahs preneurs d’otages, fera du sol suédois un terrain de leurs attaques terroristes.

31 majorités parlementaires en 2023 et jusqu’à présent 22 majorités parlementaires en 2024, dans une déclaration mondiale de soutien à la Résistance du peuple iranien, ont condamné l’exécution de 30.000 prisonniers politiques en 1988 sur une fatwa de Khomeiny et demandé à ce que les responsables de ce grand crime rendent des comptes.

Commission judiciaire du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 8 juin 2024/ CNRI

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